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Star ocean


Spartan

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du bonuXXX

 

Le site amazon.co.uk précise qu'un DVD bonus contenant une vidéo de Final Fantasy XII sera inclus avec Star Ocean Till the End of Time. Le RPG de Square Enix est attendu pour le 30 septembre en France.

 

wahou

 

super....

 

bon, sortie US le 31 août, ça se précise!

 

et en Europe? sera-t-il traduit en français? que dalle... priez pour au moins en 50Hz optimisé : /

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  • 3 weeks later...

Voilà voilà voilà voilà

 

Donc, Star Ocean 3, Till the end of Time, est en fin arrivé dans mes petites mains avides d'étudiant glandeur :D

Faut dire qu'il m'aura donné du mal, à avoir, ce jeu, créant de la sorte une véritable "tradition" des Star Ocean pour moi:

Le 1, il a fallu que j'attende des lustres qu'une traduc anglaise sorte, pour pouvoir en profiter

Le 2, j'ai passé des mois à écumer les magasins d'occaz sans le trouver, pour finalement me rabattre sur la version ricaine.

Le 3, il devait sortir en février 2003 et il est sorti le 31 août 2004 en version US. après 18 mois de retard accumulé, je me le paye, mais il aura mit 3 semaines pour venir au lieu d'une seule, bref, j'ai passé deux semaines frustrantes,pour différentes raisons, dont celle-ci.

 

Et enfin, je met la main sur le jeu: la boîte est en carton et non plus en plastique, et me rappelle un peu les boitiers de jeu NES, court instant nostalgie... :p avant de me rappler que c'est un jeu 128 bits, donc qui est censé avoir plus de gueulle que Dragon Warrior 2 (du même éditeur, faut-il le rappeler?)

Et dans laboite en carton, deux DVD, voui, c'est le premier jeu PS2 que j'achète à tenir sur deux disques, voilà qui laisse espérer un long jeu (bon, je sais, on faire tenir un jeu finissable en 4 heures sur 6 disques, mais bobn, bref...).

Je met le premier disque, j'allumela console,, et rien.... arg, zut, c'est le canal du GC, bon, je zappe, là je tombe sur le canal de la PS2... écran noir. Aïe. Bon, c'est rien, c'est pas grave, le jeu met du temps à démarrer, on va le laisser commencer en douceur.... Une minute plus tard, toujours rien. Ça a plaaaantéééééé, magnifique.

Deuxième tentative.... "Veuillez insérer un disque au format Playstation 2" Demieux en mieux.

Troisième tentative..... Encore un écran noir interminable... noooooooonnnnnnnn :biarg:

Là, je commence à sentir poindre l'envie de fraquasser ma PS2 contre le mur.... Calme ninix, calme, t'a déjà eu 120 euros de réparation parceque ta console a réussi l'exploit de griller sa piste de lecture toute seule comme une grande, après avoir passé un mois sans fonctionner, c'est pas le moment de rajouter à tes malheurs.

Quatrième essai, commencéen m'interrogeant sur les vertus comparées du zen et de la violence gratuite... Et LÀ le jeu démarre, et il va marcher pendant plus de 5 heures d'affilé :D

 

Alors, on commence par l'intro... Ho et puis zut, j'arrête décrire 5minutes, je me la repasse :^^:

Je confirme, c'est beau, ça a de la guelle, je m'en lasse pas :D

Ça commence par une vision de l'espace, comme au début de Star Ocean 2, puis des images "documentaires" en noir et blanc apparaissent: La Terre, la Lune, le Soleil, puisles vaisseaux spatiaux construits par l'homme: séance émotion pour ceux qui rêve de l'espace (Dross, où est tu?) Le Spoutnik, Apollo, les navettes spatiales, on en verserait une larme :sad: Puis vient des vaisseaux plus proches de la SF que d'autre choses, qui s'inscrivent un peu dans la continuité (on croirait presque que c'est de véritables engins) et enfin, un vaisseau ressemblant au Calnus (mais en plus stylé) apparait en orbite de la Terre avant de sauter dans l'hyper-espace, et on voit alors de nouveau la Terre, la Lune, le Soleil, mais aussi Luna, la cité construite en orbite autour de la Terre, etr qu'on entre-apercevait au tout début de Star Ocean 2. Et là, une date s'affiche: S.D (Space date, rajoutez 2086 ans pour avoir la date en années actuelles) 772. Pour planter le décors, on a rarement fait mieux.

Puis on voit les villes de la terre en version futuristes.... bon, on sent qu'on a un peu pompé sur le ème élément (mais qu'attend Besson pour faire un procès) mais qu'est ce que ça a de la gueulle: Paris et New York dans mille an, avec la Statue de la liberté sur-élevée par une tour, l'arc de triomphe et la tour eiffel qui paraissent rikiki à côté d'immeubles qui dépassent allègrement le kilomètre de haut. Le pire, c'est que les graphistes ont réussis à faire en sorte que le style architectural des bâtiments soient semblables à ceux des vrais villes, donc les bâtiments parisiens peuvent bien faire 1500 mètre de hauts, ils ont toujours une gueulle de bâtiments parisiens, splendide, tout simplement (faudrait peut-être conseiller à Delanoe de faire appel à Squarenix pour refaire les Halles :p ) puis on passe sur la vue d'une gigantesque tour (un ascensseur spatial?) et enfin, on retrouve la même vue de la cité de Luna qu'au début de SO2. Quant à la musique, c'est une musique de Sakuraba... Quand il fait les choses sérieusement, donc très belle, qui participe pleinement à l'ambiance. Bref, vous trouviez que Zanarkand avait de la gueule? C'est que dalle, un sctit village de province comparé à l'intro de Star Ocean 3, beau-ti-ful :lov:

 

Passons maintenant au jeu.

Bon, pour commencer, il est long à démarrer: j'ai vraiment commencé à jouer au bout de deux heures, parceque le début, c'est de la ballade dans un hotel de luxe sur une planète paradisiaque dédiée au tourisme (120.000 habitants et des milliards de touristes qui se ramènent chaque année) ou dans un vaisseau spatial en fuite (je note que pour ce que j'en ai vu les vaisseaux ont plus de gueule que ceux de Xeno). Certains détesteront,mais moi j'adore: jusqu'à présnet, à chaque fois ont avait un héro issus de la grande fédération avancée technologiquement, mais on en profitait pas 5 minutes qu'il était tout le temps éjecté au moyen âge. Là, on peut voir un début du jeu qui donne vraiment dans la SF, même si la suite sera plus proche de la fantasy.

Par contre, une fois qu'il commence vraiment, Star Ocean prend vraiment du rythme: à la fois dans le déroulement: les déplacements sont rapides, les combats vont vite (trèèèèèèès vites: déconseillés aux lents du paddle et aux épileptiques) et le scénar va en s'accélérant: à 5 heures 30 de jeu au compteur, Fayt, le héro (Fate à la base, mais on traduit comme des pieds pour les ricains, allez savoir) a le temps, de voir ses vacances ruinés par une attaque surprise d'aliens (censés être en paix avec la Terre... Qui a dit Pearl Harbor?) de fuir deux fois en vaisseaux, de se faire descendre deux fois, et donc de se crasher deux fois sur deux planètes différentes, de se faire enlever par d'autres aliens, de se faire torturer, de manquer de se faire flinguer par un criminel extraterrestre en fuite, et de se retrouver bloquer avec une soldate d'élite d'une théocratie sur une planète médiéval, qui n'a aucune idée de ce qui se passe dans l'espace, qui n'en a d'ailleurs rien à foutre, et qui le prend pour un habitant d'un autre continent de son monde. Fiou, faire un résumé du scnér au bout de 40 heures risque d'être un peu compliqué si ça continue à ce rythme :^^:

 

Quoi dire d'autre... Je peux pas encore faire de description détaillée du système de combat... si ce n'est que, c'est rapide, pas franchement simple (mais après on s'amuse bien à faire décoller un monstre pour le réceptionner à l'arrivée :molo: ), et entièrement en 3D: c'est à dire que les décors sont en 3D, les persos en 3D, et les déplacements aussi.

Sinon, suivant les techniques, on peut faire perdre des HP aux ennemis, ou des MP, ou les deux, sachant que les ennemis peuvent faire de même, que les techniques coutent soit des HP, soit des MP, et que si les HP tombent à zéro, c'est le KO, et que si les MP tombent à zéro... c'est AUSSI le KO. méfiance, donc.

 

Enfin, je dois dire que... Ce jeu est beau, BEAU! Pas seulement l'intro, mais le jeu en lui même. Bon, les persos ont un style d'anime que j'aime aps énormément, mais les décors, les décors... Mama Mia, splendides, ils écrasent ceux de FF10: c'est beau, c'est magnifique, même la cité prise dans la neige où il n'a pas d'autre couleur que le brun (avec le noir et le blanc) est splendide. Question poudre aux yeux, Star Ocean peut facilement prétendre au titre de plus beau jeu de la PS2, malgrès son âge.

Questions musiques, pour l'instant elles sont plutôt bien, mais je sens que je vais pas être copain avec la musique des combats (pour changer :p )

 

Bon, c'est bien beau tout ça, mais faut que j'y retourne, j'ai pas fini de m'abrutir complètement pour ce soir :bav:

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Raaahhhhh !!! J'ai pas lu ton texte, je ne le lirais pas pour le moment, mais à force de t'en entendre parler, ça y est, c'est décidé, quand je reviens de vacances, je me prends SO3 ><

Excellente initiative :D

Toute personne disposant d'une PS2 pucée ou ricaine devrait prendre SO3, je le dit, on point où j'en suis, (12 heures de jeu... en 2 jours, si c'est pas irresponsable) c'est LE RPG de la PS2, pour l'instant, il m'amuse beaucoup plus que FF10 :^^:

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en attendant l'avis final du Nix, pour savoir si le scénar part définitivement en couille sur la fin, voilà l'avis de Kukult, testé sur le version euro... comme c'est long, je vous mets que des morceaux choisis et la conclusion, si vous voulez lire le test en entier, c'est par ici...

 

déjà, pour la localisation :

 

Heureux les professeurs d'anglais, les dictionnaires Harrap's, les Bizzness School of Inglish ! Avec son travail de non-localisation sans le moindre mot d'excuse, Square Enix leur a encore assuré des effectifs confortables pour la rentrée. Car en plus d'afficher deux bandes noires assez colossales sans le moindre mode 60 Hz à l'horizon, Star Ocean Till the End of Time en PAL se vit uniquement dans la langue de Geri Halliwell.

 

50 Hz et en anglais, dans le genre le meilleur du pire....

 

la difficulté :

 

A l'inverse d'un Dragon Quest où la difficulté est minutieusement relevée, en parfaite adéquation avec l'évolution de vos personnages, celle de Star Ocean 3 tape dans la case des poussées hormonales violentes. Fidèle à la tradition instituée par la série, chaque entrée dans une nouvelle zone de jeu est synonyme de difficulté méchamment réhaussée, avec de nouveaux monstres balaises qui peuvent oblitérer votre équipe sans avoir à sortir l'artillerie lourde.

 

ce qui semble être confirmé par Nix qui m'avait parlé d'un gros saut de difficulté, qui le gonflait bien d'ailleurs...

 

l'I.A. lamentable des alliés et, mais c'est moins systématique, la mort par MP. En effet, même s'il est toujours possible de configurer le placement de l'équipe sur le terrain ou la tactique à mettre en place, les possibilités sont trop peu efficaces pour éviter de voir les deux gugusses restants se faire latter dès que la situation se corse un peu. Dans le pire des cas, il leur arrive même de rester dans leur coin sans rien faire, en spectateur.

 

cool :molo:

 

Et malheureusement pour Star Ocean 3, entre la sortie initiale du jeu au Japon et son arrivée en Europe, on a vu passer un certain Tales of Symphonia, où l'I.A., sans être exceptionnelle, se révèle infiniment meilleure.

 

:rou: :molo:

 

En résumé, le gameplay de Star Ocean 3 est solide, très moderne, riche comme Crésus, avec de multiples associations de personnages possibles, qui le rend agréable à jouer. Mais comme son aîné, il n'échappe pas à une certaine confusion qui risque de laisser pas mal de novices sur la touche. Star Ocean 3 est un RPG pour initiés.

 

tiens, Ninix comprendra mieux que nous :

 

On nous promettait des dialogues courts et bien calibrés ; on ne fait qu'enchaîner les interminables logorrhées de persos en carton déjà vus mille fois. Oui, au risque de paraître éminemment subjectif, le scénario de Star Ocean 3 prend vraiment son envol autour de la quinzième heure de jeu, avec l'apparition d'un nouveau personnage qui marque le début d'un conflit d'une plus grande intensité. A partir de là, le jeu devient plus rythmé, avec des rebondissements un peu plus consistants, voire carrément cataclysmiques sur la fin (compter 35 à 40 heures).

 

Résumé :

 

Curieux brassage que ce Star Ocean Till the End of Time. D'un côté, la réalisation très soignée et le système de jeu très travaillé, mais un peu confus, en font forcément un titre unique, et surtout différent des autres RPG modernes. De l'autre, les dizaines de clichés insupportables assénées par des séquences intermédiaires d'une rare platitude, mais heureusement zappables, nous empêchent d'y voir un nouveau chef-d'oeuvre. Qu'on se le dise, Star Ocean 3 fait partie de ces RPG japonais qui ne laissent pas indifférent. Fidèle à ses méthodes, tri-Ace n'a fait aucune concession vis-à-vis des novices en la matière, et si les initiés sauront y voir le nouveau joyau du genre, les nouveaux venus risquent de déchanter assez vite, surtout s'ils ont en plus du mal avec l'anglais. Enfin, pour une fois qu'un RPG de ce calibre sort en France, il serait dommage de le bouder. De là à crier au génie...

 

les plus :

 

De vrais bons donjons

Système très riche

Esthétique splendide

Musiques excellentes

Durée de vie à la hauteur

Les environnements qui fourmillent de détails

Combats très dynamiques...

 

les moins :

 

...voire confus

Un scénario poussif

Cut-scenes longues et pas toujours bien réglées

L'IA des partenaires souvent à la rue

Les modèles 3D manquent de détails

Un réglage de la difficulté qui rebutera les novices

Intégralement en anglais

50 Hz avec bandes noires

 

7/10

 

veulà! ma foi, sûrement le prochain RPG que je me ferai, dès que je l'aurai commandé!

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Bon, fallait que tôt ou tard je donne mon avis sur le jeu après l'avoir fini...

 

C'est pas de gaité de cur, mais bon...

 

 

Alors, à la fin du jeu, j'étais... dégouté, horrifié, déçu :biarg:

 

Pourquoi?

Parceque Tri-Ace a fait l'exploit de massacrer complètement la fin de son jeu.

Disons que pendant les 3/4 4/5 du jeu, j'étais persuadé d'avoir dans mes mains LE rpg de la PS2, celui qui enfonçait sans peine la concurence. Bon, il avait ses défauts, mais ceux-ci étaient largement négligeables face aux qualité du jeu: immense, splendide (les décors, les décors... mama mia, c'est du FF9 en temps réel :molo: ), doté d'un système de combat survoltés dans lesquels on s'ennuyait jamais, doté d'une difficulté, qui effectivement, augmentait vite, mais faisait qu'on avait jamais l'impression d'avancer sans vraiment jouer, les donjons étaient gigantesques et bien pensés, les villes aussi, les défauts du second épisode semblaient corrigés, l'histoire était bonne (voir très bonne, pour peu qu'on aprécie les scénars à la Star Trek) bref, j'étais prêt à déclarer à la terre entière que c'était le meilleur RPG de la PS2....

 

Et puis patatra: au bout de 38 heures de jeu au compteur (probablement 45 vu le nombre de game over que je me suis pris) on a droit à un GROS rebondissement dans le scénar, mais en terme de rebondissement, on a en fait l'histoire qui d'un coup se casse la guelle et qui passe du très bon au minable.

 

Alors, je le dit haut et fort: à la fin, Star Ocean 3 se paye LE SCÉNAR LE PLUS MINABLE DE LA CRÉATION :ninje:

En terme de qualité, c'est comme si on passait d'un coup de Xenogear aux power rangers: c'est la chute la plus catastrophique dans la qualité d'une histoire qu'il m'ai été donné de voir :rou: D'un coup on passe d'une belle histoire à une histoire ridicule, absurde, enfantine, minable, incohérente, bref, c'est à croire que le scénariste est un gros sadique qui fait exprès de bien faire son boulot pour 75% du jeu et qui finalement massacre sciemment la fin. En comparaison, l'apparition d'Ultimecia, les scénars de SO2 ou de MGS2 qui partent en vrille à la fin ne sont que des coups d'amateurs, parceque là, le scénar arrive à ruiner à la fin tout le début du jeu. D'ailleurs, à partir de ce rebondissement de M-E-R-D-E (y a pas d'autres mots) le jeu m'a beaucoup moins amusé, comme quoi, les scénars sont très importants dans les RPG.

Alors, vers la fin, on sent qu'ils tentent de ratraper leur coup avec de longs speechs du méchant qui fait son show, puis avec de la pseudo philosophie niveau CM1, mais ça rattrape pas l'histoire.

 

Le scénar de Star Ocean, Till the end of Time est bien fichu pendant les 3 premiers quarts du jeu, minable pour la fin :biarg:

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