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Les Final Fantasy Forums

Autre chose que Facebook !!


Quetzal

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Je crois que Facebook n'est plus à présenter depuis le temps. On a été tout plus ou moins forcé à y aller, sans trop comprendre pourquoi d'ailleurs (je me demande qui est allé de bonne là dedans en fait...), en suivant l'effet de masse et sans trop se poser de question, parce que toute façon, c'est gratuit, et que la photo qu'on voulait voir était forcément là-dedans.

 

Sauf que Facebook, niveau ergonomie est digne d'un windows 95 conçu par une bande d'handicapé... (et là même pas besoin d'une photo d'écran pour le montrer...)

 

Sauf que Facebook prône qu'on est tous amis dans ce monde...

 

Sauf que lorsqu'on met une donnée, une photo, une vidéo sur Facebook, Facebook devient propriétaire ad vita eternam de ce contenu.

 

Sauf que Facebook aime bien qu'on divulgue un maximum d'information, mais qu'on sait si peu de choses de son fondateur...

 

Sauf que Facebook est une vraie passoire niveau sécurité...

 

Sauf que Facebook ne peut être quitter facilement...

 

Sauf que Facebook, en fait, m'emmerde !!

 

Surtout quand j'apprends ça.

 

Facebook : les données de 100 millions d’utilisateurs en téléchargement libre

 

 

Les données de près de 100 millions d'utilisateurs de Facebook circuleraient dans un même fichier sur les réseaux peer-to-peer. Dans ce fichier, noms, photos, numéros de téléphone ou encore adresses. Lire la suite l'article

 

L'auteur de ce fichier s'appelle Ron Bowes. Il s'agit d'un chercheur en sécurité qui a libéré ce fichier sur la toile dans le but de sensibiliser les utilisateurs du célèbre réseau social aux failles de sécurité qui entourent la plate-forme. En effet, il explique qu'il s'est procuré ces données sans aucun piratage, seulement en les prélevant dans l'annuaire de Facebook qui recense l'ensemble des profils d'utilisateurs dits "publics".Il n'empêche que le fichier de 2.8 Go contenant toutes ces données s'échange sans relâche depuis le mercredi 28 juillet. Pour Facebook, aucun problème de sécurité puisque les données étaient publiques. Reste à savoir ce qui sera fait de ces données maintenant qu'elles sont en libre-accès sur la toile.

 

Après le soucis est qu'il n'existe pas d'alternative... enfin je pense que dans quelques mois, il en existera une, faite par une bande de geeks, et elle s'appelle Diaspora !! Ceux qui ont le temps peuvent lire cet article qui explique bien la chose.

 

Pour résumer le principe, si Facebook était emule, Diaspora serait bittorent. Facebook centralise tout par un serveur, alors que Diaspora propose de tout décentraliser. Je suis très curieux de voir ce que ça donnera donc dans un mois et quelques (ils annoncent la sortie pour septembre prochain). Et là, je quitterai sans hésiter FB.

 

Et pendant que j'y suis, ce weekend, je parlerai comment avoir accès à Pandora, un réseau social musical très bien foutu, qui vous fait écouter différentes musiques à partir de celle que vous aimez, sauf qu'y juste les ricains qui peuvent connaître cette joie.. :molo:

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mamie fait de la résistance : je ne suis pas sur facebook ! Enfin.. une fois j'avais crée un compte pour voir une photo que je voulais voir. mais je ne l'ai jamais utilisé depuis. je n'aime pas le principe en fait, ni les énormes effets de mode qui veulent t'obliger à..

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Pandora c'était bien ce site accessible en France y a quelques années, tu rentres un titre/artiste et ça te crée une playlist de morceaux dans le même genre et si ça te plait pas tu as un bouton skip?

 

C'est bien ça :D Sauf que l'accès est sucré pour des raisons de droit. Mais il existe une manip pour avoir accès au site, je l'indiquerai ce week end :D

 

mamie fait de la résistance : je ne suis pas sur facebook ! Enfin.. une fois j'avais crée un compte pour voir une photo que je voulais voir. mais je ne l'ai jamais utilisé depuis. je n'aime pas le principe en fait, ni les énormes effets de mode qui veulent t'obliger à..

 

T'as été piégée, tu es fichée maintenant :molo:

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Copain !

J'aime pas facebook. Je hais facebook, en fait. 90% de son contenu est inintéressant et les commentaires et autres "j'aime" sentent l'hypocrisie à plein nez. En fait, moi j'y vais que dans deux cas : lorsqu'on m'y oblige ("j'ai mis les photos là bas ! n'oublie pas de commenter !" -_-) et lorsque je veux faire de la promotion :molo:

 

Sinon, en alternative, y'a twitter (ok, c'est pas la même chose), mais plein d'autres en fait, basés sur le même concept ou presque : http://www.linkedin.com/ , http://www.viadeo.com/ (ces deux sont plus "pro"), etc.

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Perso, facebook j'y suis allée parce que, comme tout le monde, on m'a forcé la main "la photo est sur facebook, enregistre toi..." -_- comme tata est pas bete, elle met que des conneries en information et surtout, elle en met pas beaucoup des informations. Mais surtout l'emmerdant c'est que, si je ne suis pas inscrite sur facebook, je ne peux absolument pas controler les informations que donnent les AUTRES sur moi. Et si y'a un truc que j'aime pas, c'est quand on vient me voir au boulot et qu'on me dit :

 

dis donc c'etait cool la Reunion? J'ai vu tes photos sur facebook

Ca m'etonnerait je les ai pas mis en ligne

Non mais dans les albums de XXX

ha bon?

 

Maintenant, normalement seuls 5 personnes peuvent voir les photos et les videos ou je suis dessus. JE dis bien normalement. Mais facebook, ca a l'avantage pour moi que des gens au boulot m'ajoutent sans que j'ai besoin de chercher une excuse pour ne pas leur refiler mon numero de portable (parce qu'autant les avoir sur une liste quelconque d'amis sur un site comme facebook, ca mange pas de pain (surtout que j'ai tout parametré pour que moins d'une dizaine d'elus voit mon profil integral) mais le reste merci mais non merci.

 

et le coup des informations a propriété eternelle, c'est vrai, a partir du moment ou tu charges un truc sur facebook, ca lui appartient et ils sont libres de les utiliser pour une pub ou n'importe quoi d'autre. En meme temps, on m'a pas prevenu que facebook c'etait de la m##de, je le savais deja, vu l'opacité sur le createur, tu peux pas te dire que c'est super sain ce truc.

 

J'ai entendu parler de diaspora recemment et j'espere que ce projet aboutira et surtout que ca ne finira pas en facebook 2 parce que bon voila quoi...

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L'un des problèmes de facebook c'est qu'à la base le truc était privé de chez privé et que tu pouvais t'inscrire que sur invitation. Et qu'aucune info n'était visible depuis l'extérieur, désormais c'est plus le cas. Y a quelques années tu tapais le nom d'une personne à aucun moment tu ne pouvais tomber sur son profil facebook via google.

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Diaspora, ça va peut-être être super, mais de là à imaginer une transition massive dessus, j'y crois pas une seconde.

Déjà, faut pas oublier que sur le net, la grande majorité des gens sont des feignasses. Mais genre vraiment glandeuses.

 

Suffit de voir le nombre d'alternatives à MSN "trop bien" qui n'ont pas marché, et pourtant il y en a. Suffit de voir que Internet Explorer qui continue à survivre. Tuer une habitude prend énormément de temps. :D

 

Sinon bah, facebook, j'ai un compte oui. Sans amis, avec que des informations fausses, pour pouvoir lire les documents qu'on m'envoie de temps en temps.

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Je n'ai pas eu le temps de tester ce week end pour accéder à Pandora et je crois pas l'avoir avant un bout de temps. Alors ceux qui veulent tenter l'expérience, qu'ils téléchargent ce petit logiciel : Hotspot Shield !

Ce dernier créera une fois installé et à chaque connexion un VPN (un tunnel privé en gros) avec une IP américaine. De fait avec ceci, on peut avoir accès à beaucoup de choses qui sont restreintes aux USA (je pense notamment à certaines diffusions vidéo). Et c'est aussi une bonne façon de contourner Hadopi :D

 

Voilà, si quelque a l'occasion de tester...

 

Diaspora, ça va peut-être être super, mais de là à imaginer une transition massive dessus, j'y crois pas une seconde.

Déjà, faut pas oublier que sur le net, la grande majorité des gens sont des feignasses. Mais genre vraiment glandeuses.

 

Suffit de voir le nombre d'alternatives à MSN "trop bien" qui n'ont pas marché, et pourtant il y en a. Suffit de voir que Internet Explorer qui continue à survivre. Tuer une habitude prend énormément de temps.

 

Je dirais qu'au contraire, Emule a bien fonctionné, alors qu'il y avait des trucs propriétaires comme Napster ou Kazaa...

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Napster était dépassé, et KaZaA n'a pas survécu aux menaces qu'ils ont reçu à propos du piratage, surtout qu'à l'époque le téléchargement en P2P était encore relativement marginal et n'avait pas un parc énorme de personnes concernées. ;)

Dans le même genre, Netscape a fini par être supplanté par Internet Explorer, mais c'est la faute de Netscape.

 

Et surtout, surtout, la grosse différence, c'est qu'à moins d'avoir à disposition un parc de jeux, d'applets, des contacts avec les commerciaux ou les entreprises, et qu'on puisse pouvoir importer tous ses contacts facebook + les informations, les images et tout, j'imagine bien que la flemme va gagner et que les gens resteront docilement sur Facebook. Bien ou mal ? J'en sais rien, je dirais plutôt pas concerné en fait. :)

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Oui, et Kazaa, de tout temps, c'était un nid à virus, sur sa fin, c'était encore pire ><

Après y'a bien eu des tentatives de réseau p2p différents, genre Ares, mais le secteur était déjà mort. En fait, le meilleur réseau de p2p que j'ai connu, c'était les réseaux privés : y'avait peu de monde et ca ne concernait qu'une catégorie (moi je suis rentré dans un réseau d'animes :) ), mais que c'était bon de dl des séries même licenciées tant que tu le voulais ;)

 

[je précise pour le côté licence, que ce n'était que pour visionner la série, si j'aime, j'achète, mais d'abord, je veux voir :p]

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  • 1 month later...

Des nouvelles fraîches de Diaspora !!

 

Diaspora, les premiers pas d’un « Facebook libre »

 

Ils ont troqué le tee-shirt « gris et fade » de Zucky pour un look branchouille digne d’un groupe indé de Brooklyn. La vingtaine pour certains pas encore dépassée, Maxwell Salzberg, Daniel Grippi, Raphael Sofaer et Ilya Zhitomirskiy sont quatre étudiants new-yorkais qui osent venir défier le géant Facebook sur ses terres. Présenté par la presse sous l’expression valorisante de « Facebook alternatif », leur projet intitulé « Diaspora* » a délivré cette nuit son code source aux développeurs. La version prête à l’emploi se fait pour sa part attendre, et ne devrait être disponible qu’en octobre.

« Le réseau social open source respectueux de la vie privée, contrôlé par les utilisateurs et entièrement à construire »

 

 

Diaspora se présente comme un réseau social entièrement décentralisé, qui laisse à ses utilisateurs le « contrôle » de leurs données. « Dans le réel, nos vies sociales n’ont pas de point de contrôle central, explique dans un billet introductif le blog du projet, nos vies virtuelles n’en ont pas plus besoin. »

 

Concrètement, cette décentralisation se traduit par l’utilisation du protocole peer-to-peer : chaque membre de Diaspora pourra entreposer les informations qu’il souhaite partager sur un serveur personnel, qu’il le possède, l’héberge, ou le loue. Pour « ceux moins à l’aise avec la technique », le futur site indique néanmoins vouloir mettre à disposition « un service d’hébergement en un clic comme sur Wordpress.com, afin que la création de seed [ndlr : à l’origine des contenus dans des échanges P2P] soit aussi simple que possible ».

 

Au-delà de la protection de leurs données, sur lesquelles ils gardent la main mise, les futurs utilisateurs de Diaspora sont également appelés à contribution. Le réseau social est « entièrement à construire » (« do-it-all project »), son code est en open source et a été mis à disposition des développeurs dans la nuit. On reste dans l’idée d’un contrôle total de l’internaute : ses informations ne sont pas perdues dans le cloud et les usages qu’il souhaite en faire orientent et conforment le réseau social. Dans ce sens, Diaspora mise sur la greffe de nombreuses extensions sur son squelette de base. Intégration d’applications tierces, qui permettront par exemple de relayer l’activité de l’utilisateur sur Facebook ou Twitter, mais aussi développement de la VoIP ou d’une messagerie instantanée, sont quelques unes des fonctionnalités d’ores et déjà annoncées.

 

Au niveau de l’interface, que seules quelques captures d’écrans nous ont permis d’apercevoir, les habitués de Facebook ne devraient pas être trop dépaysés : photo de profil en haut à gauche, nom de l’utilisateur en en-tête, et fil d’information en colonne principale ; on reste dans les standards fixés par Marc Zuckerberg et son équipe. Même chose aux niveaux des usages : actualisation de « statuts », partage d’albums photos, gestion des « requests » ; c’est « l’expérience sociale » classique.

 

 

« Génial pour quelques milliers de développeurs et de gros nerds »

 

 

« Un site qui vous appartient complètement », « vous pourrez en faire ce que vous voulez », « prenez le contrôle de vos données » : pas de traces — visibles — de Facebook dans les formules scandées par les jeunes créateurs de Diaspora, et pourtant, il est évident que l’ombre de cet ogre du réseau plane sur le projet. Et s’il n’est pas désigné comme tel, Facebook semble tenir le rôle du jumeau maléfique de Diaspora : sa gestion controversée de la confidentialité de ses membres, qui se traduit par des profils toujours plus ouverts par défaut, semble en effet être le contre-modèle du système Diaspora.

 

Comme le rapporte le New York Times, auteur d’un portrait des « quatre étudiants geeks » en mai dernier, l’idée du projet a d’ailleurs germé suite à une conférence d’un professeur de droit de l’université de Columbia sur le sort des données privées sur Internet. Intitulée « Liberté dans le Cloud », la présentation pointait explicitement Marc Zuckerberg, l’accusant d’avoir « fait plus de mal à la race humaine que n’importe quel autre personne de son âge », en instaurant un réseau social centralisé, un « outil d’espionnage gratuit ».

 

Si elle n’est pas entièrement assumée, la filiation est donc claire — l’utilisation du seul terme « Diaspora » la confirme. Reste la question ultime : Diaspora a-t-il réellement les moyens de tacler Facebook ? Sur ce point, ils sont peu nombreux à miser sur la victoire de David sur Goliath. Bien au contraire : quand la presse spécialisée s’accorde à louer l’initiative, elle doute néanmoins de sa capacité à devenir calife à la place du calife. Au-delà du très jeune âge de ses fondateurs, et de leur allure geeko-juvénile un brin caricaturale (voir les vidéos), TechCrunch souligne que « si l’idée du réseau distribué et open source semble géniale, elle semble géniale pour quelques milliers de développeurs et de gros nerds ». Et d’enfoncer le clou en ajoutant que si Diaspora veut devenir « vraiment attractif » — entendez par là pour des internautes lambda, ses créateurs doivent trouver autre chose : une interface solide, ou une fonctionnalité nouvelle. Sans raison tangible de quitter le réseau aux 500 millions de membres, difficile en effet de dépasser la frange des passionnés. Même son de cloche au Telegraph, qui « ne pense pas » que Diaspora arrivera à dépasser Facebook. « Il y a déjà trop de réseaux sociaux et de services qui mobilisent notre attention. Et la plupart des gens n’aura simplement rien à faire de cette nouvelle architecture sophistiquée » argumente l’auteur de l’article, Milo Yiannopoulos.

 

De son côté, un autre jeune entrepreneur semble partager ces conclusions. Pas vraiment inquiété par l’initiative, ce cher Zucky s’est même montré un brin arrogant en mai dernier, en annonçant avoir contribué à l’appel aux dons de Diaspora sur le site Kickstarter, qui a tout de même engrangé 200 000 dollars — soit vingt fois plus que la somme visée. Pas très fairplay de la part du géniteur de Facebook, qui se verrait bien embêté si le projet qu’il a modestement financé venait à dépasser son grand œuvre.

 

Donc dans un mois, je vais essuyer les plâtres certes, mais je quitterai Fesse de bouc ! (et même si je suis seul, je m'en fous!)

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Il y aura pas de problème comme Facebook simplement parce qu'il est open source et décentralisé. Ce qui veut dire que le code est accessible à tous et que c'est un peu ton propre réseau social que tu peux ouvrir à partir de celui-là. Et pas de conditions où tu remets à une entreprise quelconque tes données qui se les approprient de manière gratuite.

Ce que je crains avec diaspora, c'est juste que ça reste un truc trop geek... enfin début de réponse dans un mois :vache-do:

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