Quetzal Posté(e) le 13 mai 2011 Auteur Signaler Share Posté(e) le 13 mai 2011 Avant quand je lisais ça, je pleurais : Facebook et vie privée, tragique de répétition par Camille Gévaudan Devinez quoi ! Facebook a encore laissé fuiter les données privées de ses membres chez des régies publicitaires qui nauraient jamais dû mettre la main dessus. Lhistoire serait presque comique, à force de répétition, si elle naggravait pas une situation déjà préoccupante. Comment un réseau social à 600 millions de profils peut-il se montrer aussi léger en termes de protection de la vie privée ? Tous les trois mois, un nouveau scandale éclate : les tchats deviennent lisibles par nimporte quel « ami », les infos personnelles tombent toutes seules dans les mains des publicitaires, les numéros de téléphone portable sont servis sur un plateau... Sans même parler des nouvelles fonctionnalités dont Facebook se vante régulièrement et qui ne permettent, concrètement, que de vaporiser toujours plus dinfos confidentielles aux quatre coins de la Toile. Cest Symantec, léditeur de logiciels antivirus, qui a déniché la dernière faille en date. Droits dans leurs bottes, ils ont commencé par prévenir les responsables de Facebook et attendre que la négligence soit corrigée avant den dévoiler les détails au grand public sur leur blog. Il savère que certaines applications Facebook (celles qui utilisent des « iframes » pour safficher) fournissent régulièrement et automatiquement aux régies publicitaires des petits bouts de code donnant accès aux profils de leurs utilisateurs. Ces codes sont appelés tokens et fonctionnent, explique Symantec, comme des « clés de rechange » : « les applications peuvent utiliser ces clés pour accomplir certaines interactions avec votre profil. Chaque clé est associé à un petit bouquet de permissions : lire votre mur, voir le profil de vos amis, poster sur votre mur, etc. » Les membres Facebook confient eux-mêmes leurs trousseaux de « clés » aux applications : cest ce qui se passe quand on clique sur le bouton « autoriser ». Mais Symantec sest aperçu que les trousseaux, loin de rester dans la poche des applications, pouvaient être transmis à des sociétés tierces et notamment les régies pub de façon volontaire ou accidentelle. Ce qui na pas manqué darriver... et ceci depuis quatre ans, puisque la faille était présente dès larrivée des premières applications sur le réseau social, en 2007. « Nous craignons que de nombreux « tokens » soient toujours disponibles dans des fichiers darchives ou sur les serveurs des publicitaires, qui en font peut-être un usage régulier », conclut Symantec. Pour y remédier, il suffit de changer sa serrure cest-à-dire son mot de passe Facebook. Tous les « tokens » deviendront alors inutilisables. Une autre possibilité reste bien sûr de fermer son compte Facebook, une bonne fois pour toutes, sans attendre la prochaine faille. Sources : ecrans.fr Maintenant que j'ai quitté Facebook depuis quelques mois : 1) Je ris en voyant ce genre d'histoire 2) Plus personne vient m'emmerder et je ne perds plus mon temps à lire la vie de chacun. Bref, je vais beaucoup mieux :furious: Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ENNIX Posté(e) le 13 mai 2011 Signaler Share Posté(e) le 13 mai 2011 Ça me rappelle cette vidéo (satirique, je précise :furious: ) sur le congrès US renouvelant le financement du programme "facebook" de contrôle des masses mis en place par la CIA :furious: Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eolia Posté(e) le 13 mai 2011 Signaler Share Posté(e) le 13 mai 2011 Après Facebook, chacun le gère comme il veut ... tu peux y étaler ta vie, tes photos et laisser ton mur en libre-accès, ou bien utiliser un pseudo, fermer tout compte à tout le monde, et y mettre le minimum d'infos personnelles. Je pense pas qu'il faille diaboliser l'outil, mais plutôt éduquer les gens à bien s'en servir (genre, savoir utiliser les paramètres de confidentialité, ce qui vu le nombre de walls ouverts, n'est pas si répandu que ça). Parce que bon c'est quand même sacrément pratique pour garder le contact avec des gens que tu ne vois plus au quotidien (potes expatriés ou à l'autre bout du pays), et aussi pour certains boulots (je vois souvent passer des sujets sur mon fil d'infos comme ca) Et sinon Diaspora, ça en est où ? :furious: Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pandemonium Posté(e) le 13 mai 2011 Signaler Share Posté(e) le 13 mai 2011 je suis carrement d'accord avec eolia, t'es pas obligé de mettre toutes les photos de ta vie ni meme de remplir toutes les infos, tu verrouilles ton mur et tu te retrouve comme moi avec une petite dizaine d'amis, qui sont des vrais amis en plus avec qui c'est plus rapide et pratique de garder contact qu'un mail ou un texto. Tu vas sur mon profil facebook et tu vois rien a part ma photo de profil, tu sais meme pas quand je suis née alors... Apres est ce que c'est normal que, lorsque t'ouvre sun compte facebook, il soit en mode open? genre tout le monde voit TOUT ce que tu fais? et ton diaspora,si l'idée me semble bonne, il me semble aussi que tes données, inclus photos et le reste, etaient stockées chez des particuliers, un peu ahem aussi dans le genre Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Quetzal Posté(e) le 5 juin 2011 Auteur Signaler Share Posté(e) le 5 juin 2011 Bon j'avais pas vraiment eu le temps de répondre à ce que vous dîtes. Je partage bien votre avis, mais au fond, ça me servait tellement à rien, à quoi bon de le garder. Et je dirais qu'il est difficile d'éduquer les gens en informatique, ou plutôt jusqu'à ce que ça leur tombe sur le coin de la figure un jour, ils bougeront pas. D'ailleurs Facebook n'a pas intérêt à dire qu'ils existent des paramètres pour configurer directement, s'ils sont ouverts, ça permet un maximum de visites. Pandé, dans ce que tu dis pour Diaspora, y a de ça certes, mais je pense qu'avec le développement des NAS (en gros des petits serveurs sans avoir la consommation des ordinateurs), tu pourrais héberger les données chez toi ou chez quelqu'un qui tu as confiance :) Et pour finir une chose : les castors vont forcément adopter Diaspora :p Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Quetzal Posté(e) le 30 décembre 2011 Auteur Signaler Share Posté(e) le 30 décembre 2011 Facebook, en fait, c'est ça :0 Ca me fait penser d'ailleurs, j'ai été invité à la beta de diaspora, alors j'irai l'essayer, histoire d'être inscrit à un réseau social avant de partir. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Captain Ishidô Posté(e) le 5 janvier 2012 Signaler Share Posté(e) le 5 janvier 2012 Je n’y vais pas et je ne compte pas m’inscrire malgré le nombre de potes libristes qui y sont inscrits. FB pue le danger depuis le début et je suis bien content de ne pas m’être précipité comme toute cette masse bêlante. ---- Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Quetzal Posté(e) le 16 juin 2012 Auteur Signaler Share Posté(e) le 16 juin 2012 Facebook a fait une introduction en bourse minable dont il aura certainement du mal à se relever dans un premier temps, mais celui qui risque de disparaître bientôt, c'est bien lui !! Gamesindustry publie aujourd'hui, par le biais d'une longue analyse, une nouvelle alarmante : seulement six mois après son introduction en bourse,Zynga risque de devenir le premier véritable échec sur le marché du social gaming et du free to play. Le prix de l'action n'a jamais décollé, son cours est même constamment en baisse, et les succès du début de l'aventure n'y changeront rien : les investisseurs n'ont pas confiance. Selon le site anglais, plusieurs raisons sont mises en cause. La première concerne un pur problème de gestion commerciale et boursière : les actions Zynga ne semblaient au départ n'être qu'un placement détourné pour les personnes intéressées par un investissement dans Facebook, à l'époque où le réseau social n'était pas encore sur les marchés financiers. Depuis l'arrivée de l'entreprise de Marc Zuckerberg en bourse, les actionnaires du développeur indépendant ont redirigé leurs investissements. Une explication financière aux problèmes de Zynga qui n'est qu'une partie de l'équation ; sur le fond, la situation sentait déjà le roussi. Plus préoccupante, la transition du web aux téléphones portables. La société s'est développée autour de Farmville. L'impact des réseaux sociaux et de leur essor a donc eu une importance énorme pour l'entreprise. Pour faire court, Zyngaétait là au bon endroit, au bon moment, et a exploité le filon jusqu'à la moelle. Mais l'interdiction par Facebook de nombreuses techniques virales, sur lesquelles l'éditeur a bâti son succès, ont un peu plombé ce modèle. Comme Facebook, Zynga a donc essayé de réitérer ses exploits sur mobile. Mais le marché du social gaming est différent du mobile. L'investissement lourd effectué dans Draw Something ne semble ainsi pas avoir eu le retour escompté et Zynga semble incapable de relancer la machine. Enfin, Zynga a fait une erreur de stratégie imparable : elle a oublié sa nature de créateur de jeux vidéo et de contenu. L'éditeur n'a jamais réussi à remplacer Farmville, et cette absence de renouvellement n'est pas compensée par les nouveaux modèles de marché dusocial gaming et du free to play. Allez zou dehors cette drogue de m##de de Farmville !! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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