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La Revue De Presse


ENNIX

Messages recommandés

  • 5 weeks later...

Qu'ils mangent de la Brioche de la part de Marie Antoinette c'était un hoax.

 

Apparemment, cette pub publiée dans le Wall Street Journal est bel et bien authentique:

 

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Oh mon Dieu: regardez cette cadre sup célibataire: à cause des méchantes hausses d'impôts du méchant Obama: ses revenus vont passer de 14.026 dollars mensuels à 13.784 dollars par mois: comment va-t-elle se payer son prochain trousseau de vêtements de marques pour signifier au monde qu'elle est riche et baisable? Et ce paaaaaaaaaaaauvre couple de bourges avec leurs 4 enfants qui gagnait 39.610 dollars net par mois ne va plus gagner que 37.810 dollars par mois: à cause d''Obama, les parents ne pourront par offrir le combo Vita-IPad-Bobox-next-gen à tous leurs mômes Noël prochain... Attendez: si, ils peuvent toujours se le payer, mais quand même, c'est la preuve que l'état leur vole leurs sous.

 

Y en a qui doutent vraiment de rien :dry:

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Vous aimez Breaking Bad? Parce que conformément à sa tradition d'excellence, l'église catholique a fait mieux :molo:

 

Un ex curé a été arrêté avec 9.000 dollars de métamphétamines dans les poches. Il avait été viré de son diocèse après avoir été surpris habillé en travesti en train d'avoir des rapports sexuels avec d'autres travestis (l'église catholique: protège les violeurs d'enfants, expulse les curés qui ont des rapports consentis avec d'autres adultes) et comptait utiliser les bénéfices du traffic de drogue pour s'acheter un sex-shop :branlette:

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  • 2 weeks later...

"Vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz yada yada yada yada" est l'une des phrases typiques des séries télé ricaines. Pour ceux qui savent pas, cette phrase, "l'avertissement Miranda" existe pour rappeler à un suspect sur le point d'être interrogé que la police n'a pas le droit de lui arracher des aveux de force: cet avertissement fut instauré en 1966 à une époque où passer à tabac un suspect (voir lui faire des trous dans la mâchoire avec une perceuse) avant de lui forcer à signer une lettre de confession écrite par les policiers mêmes qui l'avaient torturé était une pratique si répandue qu'elle avait son propre surnom: le "troisième degré".

Depuis 1966, les flic ricains sont donc contraints de rappeler à tout suspect qu'ils interrogent qu'ils n'ont pas le droit de le contraindre à des aveux. Et depuis, ils ont remplacé le coup de la perceuse par le moins violent mais non moins fatal faux témoignage sous serment:

Voilà un article du New York Times qui revient sur ce phénomène:

 

THOUSANDS of people plead guilty to crimes every year in the United States because they know that the odds of a jury’s believing their word over a police officer’s are slim to none. As a juror, whom are you likely to believe: the alleged criminal in an orange jumpsuit or two well-groomed police officers in uniforms who just swore to God they’re telling the truth, the whole truth and nothing but? As one of my colleagues recently put it, “Everyone knows you have to be crazy to accuse the police of lying.”

Des milliers de gens plaident coupable chaque année aux États-Unis pour des crimes qu'ils n'ont pas commis parce qu'ils savent que les chances que le jury les croient plutôt que les officiers de police qui les accusent sont pratiquement nulles. En tant que Juré, qui allez-vous croire? L'accusé dans son pyjama orange ou les deux officiers en uniforme qui viennent de jurer sur la Bible qu'ils disent la vérité, toute la vérité et rien que la vérité? Comme me l'a récemment dit l'un de mes collègues, "Tout le monde sait qu'il faut être cinglé pour accuser la police de mentir".

But are police officers necessarily more trustworthy than alleged criminals? I think not. Not just because the police have a special inclination toward confabulation, but because, disturbingly, they have an incentive to lie. In this era of mass incarceration, the police shouldn’t be trusted any more than any other witness, perhaps less so.

Mais les officiers de police sont-ils plus digne de confiance que les supposés criminels? Je ne pense pas. Pas simplement parce que le travail de la police les incline à la confabulation, mais parce que -de manière inquiétante- ils gagne à mentir. En cette époque d'incarcérations de masse, les policiers ne devraient pas être crue sur parole plus que n'importe quel autre témoin, peut-être même moins.

That may sound harsh, but numerous law enforcement officials have put the matter more bluntly. Peter Keane, a former San Francisco Police commissioner, wrote an article in The San Francisco Chronicle decrying a police culture that treats lying as the norm: “Police officer perjury in court to justify illegal dope searches is commonplace. One of the dirty little not-so-secret secrets of the criminal justice system is undercover narcotics officers intentionally lying under oath. It is a perversion of the American justice system that strikes directly at the rule of law. Yet it is the routine way of doing business in courtrooms everywhere in America.”

Cela peut sembler dûr, mais de nombreux responsables de la police ont décrit la situation de manière bien plus crûe. Peter Keane, a ancien commissaire de police de San Francisco, a écrit une lettre ouverte publiée par le San Francisco Chronicle qui dénonce une culture policière où mentir est la norme:

"L'emploi du parjure au tribunal pour justifier des perquisitions illégales est une pratique ordinaire. L'un des salles petits secrets de polichinel du système de justice criminel est que les agents des stups mentent intotiennelement sous serment. C'est une perversion du système judiciaire qui porte directement atteinte à l'état de droit. C'est pourtant une pratique routinière de toutes les cours de justice américaines.

The New York City Police Department is not exempt from this critique. In 2011, hundreds of drug cases were dismissed after several police officers were accused of mishandling evidence. That year, Justice Gustin L. Reichbach of the State Supreme Court in Brooklyn condemned a widespread culture of lying and corruption in the department’s drug enforcement units. “I thought I was not naïve,” he said when announcing a guilty verdict involving a police detective who had planted crack cocaine on a pair of suspects. “But even this court was shocked, not only by the seeming pervasive scope of misconduct but even more distressingly by the seeming casualness by which such conduct is employed.”

La police de New York est loin d'être exempte de critiques. En 2011, des centaines de procès pour traffic de drogue aboutirent brutalement à des non-lieux après que plusieurs officiers furent accusées de manipulation de preuves. Cette année là, le Juge Gustin L. Reichbach de la cour suprême de l'état de New York condamna la culture répandue de mensonge et de corruption des unitées anti-drogues de la police newyorkaise.

"Je ne pensais pas être naif" déclar-a-il en prononçant la culpabilité d'un détective qui avait "planté" du crack sur une paire de suspects. "Mais même cette cour a été choqué, non seulement par l'étendue de ces pratiques frauduleuses, mais, plus encore, par la désinvolture avec laquelle ce type de conduite est mené"

Remarkably, New York City officers have been found to engage in patterns of deceit in cases involving charges as minor as trespass. In September it was reported that the Bronx district attorney’s office was so alarmed by police lying that it decided to stop prosecuting people who were stopped and arrested for trespassing at public housing projects, unless prosecutors first interviewed the arresting officer to ensure the arrest was actually warranted. Jeannette Rucker, the chief of arraignments for the Bronx district attorney, explained in a letter that it had become apparent that the police were arresting people even when there was convincing evidence that they were innocent. To justify the arrests, Ms. Rucker claimed, police officers provided false written statements, and in depositions, the arresting officers gave false testimony.

Fait remarquable, les officiers newyorkais ont été surpris en train de s'addoner à des duperies dans des affaires aussi mineures que des intrusions. En septembre, il a été annoncé que le bureau du procureur du district du Bronx était tellement allarmé par les mensonges de la police qu'il avait été décidé de ne plus déférer quiconque était arrêté pour intrusion dans les HLM, sauf si les procureurs intérrogeaient eux-même l'officier responsable de l'arrestation au préalable afin de guarantir la validité de l'arrestation. Jeannette Rucker substitut du procureur du district du Bronx, expliqua dans une lettre qu'il était devenu évident que la police arrêtait des gens alors même qu'elle avait la preuve de leur innocence. Pour justifier ces arrestations, les officiers produisaient de faux rapports, et leurs dépositions étaient remplies de faux témoignages.

Mr. Keane, in his Chronicle article, offered two major reasons the police lie so much. First, because they can. Police officers “know that in a swearing match between a drug defendant and a police officer, the judge always rules in favor of the officer.” At worst, the case will be dismissed, but the officer is free to continue business as usual. Second, criminal defendants are typically poor and uneducated, often belong to a racial minority, and often have a criminal record. “Police know that no one cares about these people,” Mr. Keane explained.

All true, but there is more to the story than that.

Monsieur Keane, dans son article du Chronicle, présentait deux raisons majeures pour lesquelles la police ment autant.

Premièrement, ils peuvent se le permettre: les officiers de police savent que "dans une compétition entre deux déclarations sous sermant, l'une par un accusé de trafic de drogue, l'autre par un policier, le juge décide toujours en faveur des officiers". Au pire, le procès aboutira à un non lieu, mais l'officier menteur est libre de continuer à mener ses affaires comme d'habitude.

Deuxièmement, les accusés sont le plus souvent pauvres et peu éduqués, appartiennent souvent à une minorité raciale, et souvent ont déjà un casier. "La police sait que personne ne se soucie de ce qui advient de ces gens" explique Mr Keane.

Tout cela est exact, mais il y a davantage que cela.

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Police departments have been rewarded in recent years for the sheer numbers of stops, searches and arrests. In the war on drugs, federal grant programs like the Edward Byrne Memorial Justice Assistance Grant Program have encouraged state and local law enforcement agencies to boost drug arrests in order to compete for millions of dollars in funding. Agencies receive cash rewards for arresting high numbers of people for drug offenses, no matter how minor the offenses or how weak the evidence. Law enforcement has increasingly become a numbers game. And as it has, police officers’ tendency to regard procedural rules as optional and to lie and distort the facts has grown as well. Numerous scandals involving police officers lying or planting drugs — in Tulia, Tex. and Oakland, Calif., for example — have been linked to federally funded drug task forces eager to keep the cash rolling in.

Les commissariats de police ont été ces dernières années récompensé au prorata des contrôles, perquisitions et arrestations qu'ils produisent. Dans les Guerre contre la Drogue, les programmes fédéraux de financement comme l'Edward Byrne Memorial Justice Assistance Grant Program ont encouragé les états et les agences de polices locales à gonfler le nombre d'arrestations pour possession de drogue afin de pouvoir concourir pour les millions de dollars données en financement. Les agences reçoivent des récompenses en cash pour l'arrestation d'un grand nombre de suspects dans des affaires de drogues sans que la faible gravité des charges ou l'absence du preuve soient prises en compte. La charge de faire respecter la loi est devenu de plus en plus une affaire de chiffres.

Les choses étant ce qu'elles sont, la tendance des officiers de police à considérer les règles de la procédures comme optionelles, à déformer les faits et à mentir s'est renforcée. De nombreux scandales touchant des officiers de police qui mentent ou plantent de la drogue dans les affaires des suspects -À Tulia, Texas, et Oakland, Californie par exemple- ont été liés à des équipes de luttes contre le traffic de drogue financées par l'état fédéral désireux de préserver l'afflux de cash.

THE pressure to boost arrest numbers is not limited to drug law enforcement. Even where no clear financial incentives exist, the “get tough” movement has warped police culture to such a degree that police chiefs and individual officers feel pressured to meet stop-and-frisk or arrest quotas in order to prove their “productivity.”

La pression pour augmenter le nombre d'arrestation n'est pas limité à la lutte contre la drogue. Même là où il n'y a pas de prime au rendement, le mouvement "soit dur" a déformer la culture de la police à un degré tel que les commissaires et les officiers se sentent obligés d'atteindre leur quota de contrôle-et-fouille afin de démontrer leur "productivité"

For the record, the New York City police commissioner, Raymond W. Kelly, denies that his department has arrest quotas. Such denials are mandatory, given that quotas are illegal under state law. But as the Urban Justice Center’s Police Reform Organizing Project has documented, numerous officers have contradicted Mr. Kelly. In 2010, a New York City police officer named Adil Polanco told a local ABC News reporter that “our primary job is not to help anybody, our primary job is not to assist anybody, our primary job is to get those numbers and come back with them.” He continued: “At the end of the night you have to come back with something. You have to write somebody, you have to arrest somebody, even if the crime is not committed, the number’s there. So our choice is to come up with the number.”

Officiellement, le Préfet de Police de New York, Raymond W. Kelly, nie l'existence de quotas d'arrestations au sein de la police de New-York. De telles dénégations sont inévitables, puisque les quotas d'arrestation sont illégaux au regard des lois de l'état. mais l'a montré le Projet Organique pour la Réforme de la Police du Centre de Justice Urbaine, de nombreux officiers ont contredit Mr Kelly. En 2010, un officier de police de New-York nommé Adil Polanco déclara à un reporter de l'antenne locale d'ABC News que: "Notre job principal n'est pas d'aider qui que ce soit, notre job principal n'est pas de porter assistance à qui que ce soit: notre job principal est d'aller chercher du chiffre et de revenir avec". Il continua: "À la fin de la nuit vous devez être revenus avec quelque chose, vous devez arrêter quelqu'un. Même si aucun crime n'a été commis, le chiffre est là. Donc notre choix est de ramener ce chiffre".

Exposing police lying is difficult largely because it is rare for the police to admit their own lies or to acknowledge the lies of other officers. This reluctance derives partly from the code of silence that governs police practice and from the ways in which the system of mass incarceration is structured to reward dishonesty. But it’s also because police officers are human.

Research shows that ordinary human beings lie a lot — multiple times a day — even when there’s no clear benefit to lying. Generally, humans lie about relatively minor things like “I lost your phone number; that’s why I didn’t call” or “No, really, you don’t look fat.” But humans can also be persuaded to lie about far more important matters, especially if the lie will enhance or protect their reputation or standing in a group.

Exposer au grand jour les mnsonges de la police est difficile en grande partie parce qu'il est rare pour des policiers d'admettre leurs propres mensonges ou de reconnaître ceux proférés par d'autres officiers. Cette répugnance provient en partie du code de silence qui gouverne les pratiques policières et de la manière dont le système d'incarcérations de masse est structuré pour récompenser la malhonnêteté. Mais c'est aussi dû au fait que les officiers de police sont humains.

La recherche montre que les êtres humains mentent beaucoup -plusieurs fois par jour- même quand il n'y a aucun gain clair à mentir. En général, les humains mentent à propos de choses mineures, du type "J'ai erdu ton numéro de téléphone, c'est pour cela que je ne t'ai pas appelé" ou "Non non, vraiment, tu n'a pas dy tout l'air gros". Mais les humains peuvent aussi être amenés à mentir pour des sujets bien plus graves, surtout si le mensonge renforce ou protège leur réputation et leur status au sein du groupe.

The natural tendency to lie makes quota systems and financial incentives that reward the police for the sheer numbers of people stopped, frisked or arrested especially dangerous. One lie can destroy a life, resulting in the loss of employment, a prison term and relegation to permanent second-class status. The fact that our legal system has become so tolerant of police lying indicates how corrupted our criminal justice system has become by declarations of war, “get tough” mantras, and a seemingly insatiable appetite for locking up and locking out the poorest and darkest among us.

La tendance naturelle au mensonge rend les systèmes de quotas et de récompense-par-des-financements de la police basé sur le nombre de personnes contrôlées, fouillées et arrêtées particulièrement dangereuses: un seul mensonge peut détruire une vie, provoquer la perte d'un emploi, une peine de prison et la relégation permanente à un statut social subalterne. Le fait que notre système légal est devenu si tolérent à l'égard des mensonges policiers indique à quel point notre justice criminelle a été corrompu par des déclarations de guerre [contre la drogue, les gangs, etc...], les mantras de type "soit dur" et un apétit apparement insatiable pour l'enfermement et l'exclusion des plus pauvres et de splus sombres de peau parmi nous.

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Non seulement le mariage universal a été voté par l'Assemblée nationale, mais le port du futal universel a également été légalisé.

 

Et oui mesdames, jusqu'au 31 janvier dernier, il était officiellement illégal pour vous de porter le pantalon, à moins de posséder un "permis de travestissement" délivré par la police.

 

Nous vivons une époque moderne, le progrès fait rage

 

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  • 1 month later...

Aujourd'hui (enfin hier) j'ai eu une conversation téléphonique avec mon père

 

Lui: habemus papam

Moi: Qui c'est?

Lui: Un Jésuite Argentin

Moi: Oh Putaaaaaaaaaaain

Lui: Pourquoi pu###?

Moi: Jésuite.... Argentine: tu va vite voir

 

Et on a vite vu: Voici un article sur le future pape d'il y a 2 ans

 

:aeris:

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[02:02:05] <Anatheme> Ca me fait rire.

[02:02:36] <Anatheme> Un pape avec un "nom" de Roi Français probablement mort de la syphilis.

On a eu ça, de mon côté (et Anathème est le nom d'un personnage qu'il a joué sur un jeu en ligne, mais il aime bien se moquer de la religion. Bon, et de plein d'autres trucs.).

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Haaaa, l'Amérique:

 

Il y a deux ans, cette vidéo satirique était produite:

 

Deux ans plus tard, cinq membre d'une équipe de foot-américain violent une fille dans des conditions similaires, et voilà comment la "sérieuse" chaîne CNN réagit.

 

Oh Mon Dieu, deux futur stars de la baballe ont eu leur future ruiné après s'être fait prendre pour viol, Nooooooooooooooon

 

 

On moins la prochaine fois qu'un Ricain me sortira l'affaire Stauss-Kahn je pourrait toujours répondre "Steubenville"

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