scorpion Posté(e) le 13 août 2003 Signaler Share Posté(e) le 13 août 2003 quand je te vois , je ne sens plus mes doigts, lorsque ton souffle vient se poser sur ma bouche, je ne désire qu'une chose te voler un baiser sur la bouche, je ne veux que t'aimer, alors montre moi, que nous sommes partis pour l'éternité, tu as allumer une flamme dans mon coeur, alors aime moi, fait moi vivre car tu es mon ame-soeur. D'une fleche d'amour tu m'as transpercer, je ne te demande rien si ce n'est que de m'aimer, tu as ma vie entre tes mains , alors , fait de moi ce qui te semble bien, je te confie ma vie éternel, en esperant que cela t'apporte des ailes, car pour moi tu es un ange, et je ne veux te dire que des louanges. ce poême est pour toute les femmes qui subissent des chagrins d'amour! je pense que toutes les personnes qui s'offre des amours libertines sont vraiment des crétines. Que l'amour qui est en vous monte au ciel, et que votre coeur monte les gratte-ciels ( mais qu'est ce que c'est que ça) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 24 mai 2004 Auteur Signaler Share Posté(e) le 24 mai 2004 Portrait Au carrefour du printemps Comme à la source du beau temps, Le soleil règne sur le bleu Tel le marron qui luit dans tes yeux: Il monopolise mon attention Et me transporte dans une autre dimension. Cascade de la voie lactée, La blondeur de tes longs cheveux exaltés Respire le parfum exotique Du monde dans lequel tu vis, de l'Adriatique Au pAcifique, océans de bonheur. J'imagine la senteur sur ton cou, et de ta chair son odeur. La simple esquisse de ton sourire Est la plus grande satisfaction, c'est un plaisir Qui prend vie de même Que les astres l'aime. Ta douce silhoutte se dessinne Au fil de ta plume, assassinne À mes yeux, tant la beauté Y est présente; à l'encre de Chine il faut graver Ces lignes, divin travail. Ne t'étonnes pas si où que tu ailles Les hommes te regardent: tu en es responsable, Et de mon côté je trace dans le sable Tes traits et tes formes De peur que j'oublie ton visage avant que je m'endorme. La plus belle des compagnies, C'est bien la tienne et j'en suis ravi. PS : On se reconnaîtra, car celui est dédié, comme à mon habitude. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 6 avril 2005 Auteur Signaler Share Posté(e) le 6 avril 2005 Ce qui se meurt Les grands bâtiments voient La tragédie chaque jour de pluie. Ces gouttes roulent et perlent le long des parois, D'acier, de béton, de verre. Certaines prennent leur temps, D'autres chutent d'une vertigineuse altitude. Certaines se croisent, d'autres se ratent de peu. Chacune suit un itinéraire propre à elle-même, Telles des neutrons libres. Mais inexorablement, elles chutent. Cette destinée leur est inextinguible Et parfois celles refusant leur futur toujorus plus proche, Seront accélérées par le vent implaccable; La fin est connue d'avance, Inexorablement, elles mourront, elles s'écraseront, et disparaitront. Nous sommes comme elles, Cette paroi, c'est notre vie, parsemée d'obstacles Et d'innombrables gens. Alors que nous savons tous quel est notre sort, La seule chose qui nous différencie, sera ce trajet Jusque notre chute. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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