Elenthil Xanol Posté(e) le 17 juin 2003 Signaler Share Posté(e) le 17 juin 2003 Bon eh bien comme je n'allais pas empiéter sur le sujet rimons rimons, car là c'est plus de la poésie réfléchie et sous forme finale, je vous propose de mettre des oeuvres qui vous seraient personnelles ou bien de mettre ici des poèmes d'auteurs connus ou inconnus. Je commencerai donc la série par celui-ci: Ephémère Poussière détoile filante, Aux yeux de lUnivers si lente, Persiste en une brève apparition, À fournir un bouquet démotions. De tous les astres célestes, Dont personne ne déteste, Il est le seul à courir dans les cieux Et distancer les pouvoirs des Dieux. Sa blancheur, encore immaculée, Démontre quil existe encore une beauté, Que lon peut aimer toujours Et même idolâtrer pour nos vieux jours ! Sa jeunesse est infinie ; Tandis que nous, hommes, aurons vieilli. Qui pourrait après, déclamer que le mythe de Jouvence Nest quune simple romance ? Vous nous fournissez un tel bonheur Que le Soleil et la Lune envieux, sont toujours en pleurs. Telle est la vie, Telle est ce que vous nous inspirez :lenvie, Lun des sept pêchés capitaux ! Mais tout assez tôt, Nous réitèrerons par tous les moyens possibles De vous remercier davoir rendu nos curs fissibles. Et mon âme et mon cur en un cri, Ce poème, à vous les femmes, je dédie. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lonweï Posté(e) le 18 juin 2003 Signaler Share Posté(e) le 18 juin 2003 Alors, moi j'ai envie de présenter un poème de Nathalie Ethier, auteur inconnue mais qui a fait un poème que j'aime beaucou^p, surtout quand c'est du vécu... L'héritier de mon amour Tu m'as aimée Comme personne ne m'aimera Car je le sais Il en existe pas deux comme toi Tu es toujours là Car je te sens présent Même si tu es parti Vers une autre vie Jamais je ne t'oublierai Car dans mon cur tu es entré Pour y rester Il n'y aura personne pour t'en déloger Ça je peux te le jurer Pour toujours je vais t'aimer Qu'importe le prix à payer De mon amour tu es le seul héritier Certains diront pourquoi gaspiller Une vie si bien commencée À ceux-ci je répondrai Que ma vie ne sera jamais gaspillée Si je l'emploie à t'aimer Même si c'est pour l'éternité Nathalie Ethier Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 21 juin 2003 Auteur Signaler Share Posté(e) le 21 juin 2003 Bon pour continuer sur la lancée dont seul Lonwei à sû perpétuer : Mon amour Mon amour, je dois te dire adieu. Ce que je nai pas pu lire dans tes yeux, Je peux limaginer. La souffrance, le reproche, La peur. Et aussi la trahison de ton proche. Men as-tu voulu de ne pas avoir été là, À linstant où jai toujours juré dêtre près de toi ? Je nai malheureusement pas réagi à temps ; Entraînant ainsi la fin de notre temps. La fièvre dans ton corps te brûlait Et à aucun moment je ne men doutais. Toutes ces années passées à tes côtés, Rien ni personne ne pourra me les faire oublier. Mon Amour, je taime encore mais je ne peux te le dire, Je ne peux que fermer mes yeux et le penser pour que cela ne soit pire. La vie a plus dimagination que nen portent nos rêves. Il suffit dy croire :quand jobtiendrais une trêve, Je te promets dêtre là Jusque linfini et même au-delà. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 21 juin 2003 Auteur Signaler Share Posté(e) le 21 juin 2003 Celui-ci est pour mon Pampa, bien que je ne l'ai pas écrit à cette occasion, les situations se recoupent: Railleur Eh, Toi ! Tu te moques bien de moi. Tes rires, tes regards. Ton air goguenard. As-tu donc essayer, Démouvoir et de choquer ? Sais-tu ce que représente Cette Amour pour lEcriture, pesante, Mais aussi affable, Courtoise. Et vous, vous attendez simplement que la table, Dont je vous sers les mets, Vous tombent sous le nez. Et jomets De vous dire que la vengeance Nest pas un défaut mais une tendance, Et que ma verve, Je nen fait aucune réserve. Si le temps use lesprit, De moi il naura rien car vous aurez appris, Que mes mots mis en vers Sont mon héritage et ma Terre. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 21 juin 2003 Auteur Signaler Share Posté(e) le 21 juin 2003 Sans commentaire : Kaïos Coulant dans leurs veines, Ils adorent ça bien quil les enchaîne. Pareils à des moustiques, Ils confrontent leurs idées et éthiques. Sévadant des feux de lenfer, Ce quils savent le mieux faire, Cest cette pu### de guerre des mondes, Des nations, des peuples, des races. Immonde ! Les missiles sécrasent lentement Contre les destroyers dérivant, Capturés par attraction, Evacuant les hommes déquipage avant la déflagration. Les leaders de vols Tirent presque sur tout ce qui vole : Trop de débris Et beaucoup plus dennemis. À peine celui-ci est-il abattu Quil revient en vague, formation spécifique, pour une battue. Tels des oiseaux de feu, Nos vaillants héros sembrasent dans les cieux. Les croiseurs nont plus le choix : Les frégates et eux-mêmes sélancent au corps à corps, défiant toutes les lois. Les capitaines et lieutenants donnent des ordres Et après quelques instants des contre-ordres. Se fiant à leur instinct, les canonniers Déchaînent leur fureur contre tout gibier. Ils se battent bien ;comme des Dieux. Mais quand vient la fin, le commandant fait ses adieux Et sexcuse auprès de ses camarades De ne pas les avoir mené vers cette liberté toujours en rade. Du vaisseau amiral, le cargo et sa défense légère Ne sont plus quen un instant un nuage de poussière. Désormais il faudrait un miracle Pour que ce spectacle Tournant au pire devienne victoire. Mais comment faire ? Nétait-ce pas péremptoire ? Plusieurs des nôtres viennent de détruire un vaisseau adverse. Mais dans lexplosion qui suivit cette averse Presque tous furent emportés, Et cette victoire amputée. Les deux camps reçurent enfin des renforts, Ce qui solidifia loffensive et la défensive comme des contreforts. Soudainement, un groupe inconnu arrive Et détruit tout comme sil était seul sur une autre rive. Mais nest-ce pas un ennemi commun ? Ce conflit relativement « petit »serait-il en comparaison une dispute entre chiens ? Lescarmouche prenant une autre tournure, Les deux flottes, il y a peu de temps ennemies, sallient pour avoir la force dExcalibur. Ils se protègent mutuellement contre cet envahisseur surpuissant. Ils ont enfin mis de côté leurs différends. Les actes héroïques se succédèrent, Comme cet escadron qui se sacrifia pour sauver lhôpital embarcadère. La bataille est toujours en marche : La morale de cette histoire tient dans cette démarche ; Il a toujours existé la règle de larrière-garde. Noubliez pas, prenez garde ! Lennemi nest pas toujours en face. Le réel danger est celui qui est sous la surface. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 21 juin 2003 Auteur Signaler Share Posté(e) le 21 juin 2003 Guerrier divin « Sors salutis » Sort salutaire Quand survient le chevalier blanc « Et virtutis » Et valeureux Celui qui défends la veuve et lorphelin « Mihi nunc contraria » En cet instant contraire, Il finit par se battre pour son honneur « Est affectus » Est affecté Se bat de toutes ses forces « Et defectus » Et défait Mais meurt dans la solitude « Semper in angaria » Toujours par lesclavage : Pour sêtre enchaîné à un orgueil « Hac in hora » En cet instant Cest alors quil se dit « Sine mora » Sans retard Quun jour ou lautre « Cordis pulsum tangite » Touche la corde vibrante, La mort doit nous toucher « Quod per sortem » Alors si le sort Cest alors que femmes et enfants lentourent « Sternit fortem » Détruit ceux qui sont forts Pour dire à ce valeureux prince « Mecum omnes plangite » Pleurez tous avec moi Combien ils aiment leur roi. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 23 juin 2003 Auteur Signaler Share Posté(e) le 23 juin 2003 Bon, celui-là décrit un peu ma situation actuelle : Je tattendrai Par-delà les tempêtes Les cyclones les marées Par-delà les tempêtes Qui semblent enragées. Au-delà des plaines Des collines des montagnes, Au-delà des plaines Qui rongent nos plus profondes campagnes. Jusquau bout des mots Et de toutes les horizons, Jusquau bout de la vie, À travers le miroir de la vie, Je tattendrai. Je tattendrai. Car à travers le miroir de la vie Et jusquau bout de la vie, Car toutes les horizons Vont jusquau bout des mots, Car les campagnes Se nourrissent des plaines, Car les collines et les montagnes Sont au-delà des plaines, Et que devenues enragées Par-delà les tempêtes Les cyclones les marées Déchaînent mes tempêtes, Lorsque survient la mort, puisque refoule lAmour. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 25 juin 2003 Auteur Signaler Share Posté(e) le 25 juin 2003 Ce que j'aime dans ce topc q'est que je me réponds à moi-même. Mais c'est pas grave, du moment que ceux qui viennent lire (si il y en a ce qui reste à prouver.. :) ) aiment et trouvent du plaisir ici alors ma mission est remplie. Clémence Te dédier ces vers Est la plus belle faveur quil Mest été donné de faire : Je peux trouver la fertilité du Nil En regardant ton corps le jour Et le mystère la nuit tombée. Chaque aurore endort mon amour Lorsque le crépuscule éveille ce nouveau né. Et la lune tombant sur le calme de la mer, Nous nous laisserions bercés par la mélodie des vagues, Fredonnant toujours ce même air Où les marins des légendes voguent. Près de notre petit feu Le sable reste chaud. En cet instant Je tavoue que rien nest plus beau Sinon la femme que tu es, Et dont jai rêvé voilà Plus de mille jours et mille nuits. Chaque palpitation depuis cet instant-là Est comme une fine pluie Qui désaltère un immense désert Brûlant et assoiffé. Mais comme la pierre Tombant dans leau, lautodafé De ma vie a cessé net. Alors que ce train ne peut aller que là où Ses rails le conduisent, je vois plus net Dans le passé ;le futur restera flou Quoiquil arrive. Mais dans ce présent, Je ne sais plus sur quelle rive Je suis le plus dément. Suis-je vers lAmour ou lAmitié ? La Réalité ou lIllusion ? Si je devais compter Tous mes rêves adressés à Elision, Il me faudrait regarder le ciel, Et énumérer chaque étoile, Pour savoir si ses yeux à Elle Ont un jour croisé ce Bien ce Mal. La distance entre les âmes varie Selon des critères si humains Quau lieu den pleurer jen ri Pour éviter de regarder ces mains, Traîtresses à ma cause Révélatrices de mon état. Il existe bien des choses, Bien des sentiments ou des émois. Mais seuls quelques-uns sauraient me tuer, Me sauver ou qualifier ma vie. Et beaucoup ne peuvent pas créer Les fantasmes, et bien des envies. En croisant le fer avec la Peur, La Vertu, la Sagesse, lHumilité Paraissent bien plus fortes que la Douleur. Est-il possible de garder son intimité Quand on délivre ses secrets A un ami qui deviendra son amoureuse Et non son amante ?Que serait Le passé sans nuit houleuse ? De quelle façon puis-je attirer ton attention ? Je pourrais, ô Dieux ! Engager un duel pour chaque émotion Que jendure en me perdant dans tes yeux. Mon arme serait lAmour Mon armure le Panache Ma mort du Velours Ma sépulture un lit de fleurs, sans tâche Ni pleur. Ni regret. Ni remord. Pas de doutes. Juste des actes. « Un jet De pierres sur une cascade de routes ». Où donc me mènera ce chemin ? Vers une chambre une femme Peut-être même à lencontre de mon destin. Puis-je déclarer ma flamme ? LHésitation me ronge Mais il faut affronter le présent. Vaguement et lentement je sors de ce songe Pour me retrouver face à plusieurs diamants. Chacun brille à sa manière Et chaque éclat pèse à mon cur. Comment pourrais-je émousser votre lumière Lorsque mon ombre soppose au bonheur ? Vivre pour autrui est une tâche difficile Mais également un défi intéressant En ce terrain hostile Où lair est oppressant. Une question, un signe. Tout bascule, tout sinverse. Le loup devient cygne Et le monde se renverse. Un simple battement de cils suffit A briser des chaînes Comme briser une vie, Telle la tempête qui se déchaîne. Dans les plus profonds abysses oubliés des Dieux, Il est un amour qui prend fin : Je men vais te dire en un mot « adieu », Soulageant des esprits, des âmes ;une faim. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 25 juin 2003 Auteur Signaler Share Posté(e) le 25 juin 2003 Il y a un poème que j'aime beaucoup d'un auteur pas très connu, Pierre de Marbeuf, qui nous propose ici un style très fin dans ses vers et une profondeur très belle, dans le choix de ses mots. Il n'y a pas de titre à ce poème, et peut-être est-ce aussi bien: Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage, Et la mer est amère, et l'amour est amer, L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer Car la mer et l'amour ne sont point sans orage. Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage, Celui qui craint les meaux qu'on souffre pour aimer Qu'il ne se laisse pas à l'amour s'enflammer, Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage. La mère de l'amour eut la mer pour berceau, Le feu sort de l'amour , sa mère sort de l'eau, Mais l'eau contre le feu ne peut fournir des armes. Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux, Ton amour qui me brûle est si fort douloureux Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 26 juin 2003 Auteur Signaler Share Posté(e) le 26 juin 2003 Message pour le forum, ou plutôt ses membres, du moins ceux quise sentent concernés mais je pense que cela devrait toucher tout le monde: Un temps Il y a un moment pour toute chose sous le ciel Il y a un temps pour tout Un temps pour donner la vie, un temps pour mourir Un temps pour planter, et un temps pour récolter Un temps pour tuer Un temps pour guérir Un temps pour démolir, un temps pour bâtir Un temps pour pleurer, un temps pour rire Un temps pour se lamenter Un temps pour danser Un temps pour jeter des pierres Un temps pour les ramasser Un temps pour enlacer, un temps pour se désenlacer Un temps pour trouver, un temps pour perdre. Un temps pour conserver, un temps pour jeter Un temps pour déchirer, un temps pour réparer Un temps pour se taire. Un temps pour parler. Un temps pour aimer, un temps pour haïr. Un temps pour la guerre, un temps pour la paix. Il y a un moment pour toute chose sous le ciel ; Mais si peu de temps pour tout faire. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Daïkira Posté(e) le 26 juin 2003 Signaler Share Posté(e) le 26 juin 2003 Um pour mon brevet , au dernier exercice de français, j'ai fais un poème , je le trouve pas trop mal (après à vous d'en juger, se juger soi même c'est dur ^^), mais voilà ; Le Chat Moi, le chat, qui suis persécuté par les enfants, Attaqué par les chiens errants, Moi qui me fait renverser par les voitures, Moi qui aime escalader les toitures, Je chasse les oiseaux pour le plaisir, Et je joue avec vous pour vous faire rire, Moi qui tue les souris, Pour ne plus entendre vos cris, Moi qui viens vous faire des câlins sincère, Mais cela parce que vous mavez retiré trop tôt de ma mère, Moi qui cherche la bagarre, Pour avoir un grand territoire, Moi et mes yeux que vous adorez, Vous en avez même fabriqué, Pourquoi ne pourrais-je pas vagabonder ? Dans les forêts, les champs, les prés Sans avoir à rentrer pour manger, Pour quoi en si peu de temps les choses ont autant changé ? Je crois que tout ça ménerve au plus haut point Mais en fait, jaime les humains. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 18 juillet 2003 Auteur Signaler Share Posté(e) le 18 juillet 2003 Faisons vivre la poésie par la poésie. Tous ceux qui étaient là se souviennent de la dédicace au citron. Rien que pour Molo :blink: Eh bien la voici la voilà : Dédicace à un citron Il existe une grande forêt, Immense, pleine de sapins et dont à lorée Se trouve un petit chemin, De cailloux et de pins. Plusieurs ruisseaux font vivre Les écureuils et les castors ; les parfums enivrent Les sens. Les plantes et les oiseaux Chevauchent les distances jusquà Molo. Le sentier de termine sur une clairière, Abritée par le roi des bois et des rivières. À son pied, je vois une femme. Elle porte une longue robe. La flamme De sa beauté est encore accrue par le foulard Quelle porte. Ses longs cheveux et son regard Percent ma nuit. Fille de la nature par son vert Et son châtain. Les brises font senvoler de la poussière Détoiles ; le temps devrait sarrêter. Ce moment possède une telle intensité. Mon cur bat la chamade tant La panique me prend. Je cueille une rose près de moi, Avant de mapprocher de toi. Définitivement, jai peur. Sans ma poser de question, je te donne cette fleur, Symbole de pureté, damour et damitié. Le soleil se couche sous un ciel teinté Des couleurs de la vie qui commence. Chacun doit choisir, moi je prends un tournant dans mon existence. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 18 juillet 2003 Auteur Signaler Share Posté(e) le 18 juillet 2003 Et pis tant qu'on y est un deuxième, c'est ma période... :astonished: Allez savoir de quoi ^^. À Toi À Toi qui me fais aimer, Toi qui môte le goût et le toucher, Toi qui mempêche de sentir, entendre et voir Regarde jusquoù va mon espoir. Je lavoue, je Taime et jétouffe encore Que mon cur soit plus bas que lor Et que Ton cur de diamant Puisse avoir un amant. Dieu a créé la femme Mais a dépourvu lhomme dune âme. Ta malicieuse sensualité Aspire à la jeunesse et à léternité Tandis que je hais mes protubérances Qui me résignent à une longue errance. Oh, mon amour, Pourrons-nous vivre en paix, un jour ? Je meurs damour à jamais Quil y ait entre nous, toujours, un « mais ». Oh, ma princesse, Je Te suivrai sans cesse : Où Tu iras, Je serai là Pourtant, qui donc pourrait empêcher Les effets de cette flèche décochée Qui ma transpercée de part en part, À jamais nous séparent ? Toi qui mas inspiré ce poème, Je voudrais graver inextricablement sur ton corps : « Je taime ». Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scorpion Posté(e) le 6 août 2003 Signaler Share Posté(e) le 6 août 2003 la perle qui est dans mon coeur , je ne la donne qu'a mon ame soeur, je suis en quete d'amour a donner, ne vous inquiéter pas , je ne cherche qu'a aimer, il est dit dans le livre de la vie , que chaque etre aura le coeur pris, mais aujourd'hui tout part de l'amour, car comme on dit si bien ,la vie est une branche de l'amour Je vous compte un moment de ma vie , qui je l'espere marquera un peu votre vie, j'ai longtemps cherché la femme que j'aime et aujourd'hui je l'ai trouvé et je l'aime!! ( petit mot pour dire que l'amour se trouve partout il suffit de le cherché et ne peux le lacher) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elenthil Xanol Posté(e) le 9 août 2003 Auteur Signaler Share Posté(e) le 9 août 2003 Le premier pour celles qui se reconnaîtront: Lettre dadieu À toutes les femmes que jaime Et qui ne le sauront jamais, Je voudrai leur dire tant de choses Et pourtant si peu de courage Pour le faire ;juste assez Dimagination pour le rêver. Mais croyez-moi simplement Lorsque je vous dis « je vous aime ». Le second pour plusieurs personnes que je ne vois plus depuis plus d'un mois et qui me manque et aussi pour Dagga: Pardon Pardonnez-moi De ne pas avoir pris le temps De vous dire que je tenais à vous, De vous dire que je vous aime, De vous dire au revoir. Pardonnez-moi De ne pas avoir eu le temps De tenir mes promesses, De respecter mes idéaux, De venir vous voir. Pardonnez-moi De ne plus avoir le courage De tout vous avouer, De tout vous raconter, De tout vous cacher. Pardonnez-moi Car je vous aime trop Et bientôt vous ne serez plus là, Si proche et pourtant si loin, Comme autrefois, comme maintenant. Pardonnez-moi Mes sentiments, Mais je ne sais plus que faire Lorsque tout est à faire. À deux. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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