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Les Final Fantasy Forums

Avis Aux Âmes Poétiques...


Elenthil Xanol

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Bon eh bien comme je n'allais pas empiéter sur le sujet rimons rimons, car là c'est plus de la poésie réfléchie et sous forme finale, je vous propose de mettre des oeuvres qui vous seraient personnelles ou bien de mettre ici des poèmes d'auteurs connus ou inconnus.

Je commencerai donc la série par celui-ci:

 

Ephémère

 

Poussière détoile filante,

Aux yeux de lUnivers si lente,

Persiste en une brève apparition,

À fournir un bouquet démotions.

De tous les astres célestes,

Dont personne ne déteste,

Il est le seul à courir dans les cieux

Et distancer les pouvoirs des Dieux.

Sa blancheur, encore immaculée,

Démontre quil existe encore une beauté,

Que lon peut aimer toujours

Et même idolâtrer pour nos vieux jours !

Sa jeunesse est infinie ;

Tandis que nous, hommes, aurons vieilli.

Qui pourrait après, déclamer que le mythe de Jouvence

Nest quune simple romance ?

Vous nous fournissez un tel bonheur

Que le Soleil et la Lune envieux, sont toujours en pleurs.

Telle est la vie,

Telle est ce que vous nous inspirez :lenvie,

Lun des sept pêchés capitaux !

Mais tout assez tôt,

Nous réitèrerons par tous les moyens possibles

De vous remercier davoir rendu nos curs fissibles.

Et mon âme et mon cur en un cri,

Ce poème, à vous les femmes, je dédie.

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Alors, moi j'ai envie de présenter un poème de Nathalie Ethier, auteur inconnue mais qui a fait un poème que j'aime beaucou^p, surtout quand c'est du vécu...

 

L'héritier de mon amour

 

Tu m'as aimée

Comme personne ne m'aimera

Car je le sais

Il en existe pas deux comme toi

Tu es toujours là

Car je te sens présent

Même si tu es parti

Vers une autre vie

Jamais je ne t'oublierai

Car dans mon cur tu es entré

Pour y rester

Il n'y aura personne pour t'en déloger

Ça je peux te le jurer

Pour toujours je vais t'aimer

Qu'importe le prix à payer

De mon amour tu es le seul héritier

Certains diront pourquoi gaspiller

Une vie si bien commencée

À ceux-ci je répondrai

Que ma vie ne sera jamais gaspillée

Si je l'emploie à t'aimer

Même si c'est pour l'éternité

 

Nathalie Ethier

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Bon pour continuer sur la lancée dont seul Lonwei à sû perpétuer :

 

Mon amour

 

Mon amour, je dois te dire adieu.

Ce que je nai pas pu lire dans tes yeux,

Je peux limaginer. La souffrance, le reproche,

La peur. Et aussi la trahison de ton proche.

Men as-tu voulu de ne pas avoir été là,

À linstant où jai toujours juré dêtre près de toi ?

Je nai malheureusement pas réagi à temps ;

Entraînant ainsi la fin de notre temps.

La fièvre dans ton corps te brûlait

Et à aucun moment je ne men doutais.

Toutes ces années passées à tes côtés,

Rien ni personne ne pourra me les faire oublier.

Mon Amour, je taime encore mais je ne peux te le dire,

Je ne peux que fermer mes yeux et le penser pour que cela ne soit pire.

La vie a plus dimagination que nen portent nos rêves.

Il suffit dy croire :quand jobtiendrais une trêve,

Je te promets dêtre là

Jusque linfini et même au-delà.

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Celui-ci est pour mon Pampa, bien que je ne l'ai pas écrit à cette occasion, les situations se recoupent:

 

Railleur

 

Eh, Toi !

Tu te moques bien de moi.

Tes rires, tes regards.

Ton air goguenard.

As-tu donc essayer,

Démouvoir et de choquer ?

Sais-tu ce que représente

Cette Amour pour lEcriture, pesante,

Mais aussi affable,

Courtoise. Et vous, vous attendez simplement que la table,

Dont je vous sers les mets,

Vous tombent sous le nez. Et jomets

De vous dire que la vengeance

Nest pas un défaut mais une tendance,

Et que ma verve,

Je nen fait aucune réserve.

Si le temps use lesprit,

De moi il naura rien car vous aurez appris,

Que mes mots mis en vers

Sont mon héritage et ma Terre.

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Sans commentaire :

 

Kaïos

 

Coulant dans leurs veines,

Ils adorent ça bien quil les enchaîne.

Pareils à des moustiques,

Ils confrontent leurs idées et éthiques.

Sévadant des feux de lenfer,

Ce quils savent le mieux faire,

Cest cette pu### de guerre des mondes,

Des nations, des peuples, des races. Immonde !

Les missiles sécrasent lentement

Contre les destroyers dérivant,

Capturés par attraction,

Evacuant les hommes déquipage avant la déflagration.

Les leaders de vols

Tirent presque sur tout ce qui vole :

Trop de débris

Et beaucoup plus dennemis.

À peine celui-ci est-il abattu

Quil revient en vague, formation spécifique, pour une battue.

Tels des oiseaux de feu,

Nos vaillants héros sembrasent dans les cieux.

Les croiseurs nont plus le choix :

Les frégates et eux-mêmes sélancent au corps à corps, défiant toutes les lois.

Les capitaines et lieutenants donnent des ordres

Et après quelques instants des contre-ordres.

Se fiant à leur instinct, les canonniers

Déchaînent leur fureur contre tout gibier.

Ils se battent bien ;comme des Dieux.

Mais quand vient la fin, le commandant fait ses adieux

Et sexcuse auprès de ses camarades

De ne pas les avoir mené vers cette liberté toujours en rade.

Du vaisseau amiral, le cargo et sa défense légère

Ne sont plus quen un instant un nuage de poussière.

Désormais il faudrait un miracle

Pour que ce spectacle

Tournant au pire devienne victoire.

Mais comment faire ? Nétait-ce pas péremptoire ?

Plusieurs des nôtres viennent de détruire un vaisseau adverse.

Mais dans lexplosion qui suivit cette averse

Presque tous furent emportés,

Et cette victoire amputée.

Les deux camps reçurent enfin des renforts,

Ce qui solidifia loffensive et la défensive comme des contreforts.

Soudainement, un groupe inconnu arrive

Et détruit tout comme sil était seul sur une autre rive.

Mais nest-ce pas un ennemi commun ?

Ce conflit relativement « petit »serait-il en comparaison une dispute entre chiens ?

Lescarmouche prenant une autre tournure,

Les deux flottes, il y a peu de temps ennemies, sallient pour avoir la force dExcalibur.

Ils se protègent mutuellement contre cet envahisseur surpuissant.

Ils ont enfin mis de côté leurs différends.

Les actes héroïques se succédèrent,

Comme cet escadron qui se sacrifia pour sauver lhôpital embarcadère.

La bataille est toujours en marche :

La morale de cette histoire tient dans cette démarche ;

Il a toujours existé la règle de larrière-garde.

Noubliez pas, prenez garde !

Lennemi nest pas toujours en face.

Le réel danger est celui qui est sous la surface.

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Guerrier divin

 

« Sors salutis »

Sort salutaire

Quand survient le chevalier blanc

« Et virtutis »

Et valeureux

Celui qui défends la veuve et lorphelin

« Mihi nunc contraria »

En cet instant contraire,

Il finit par se battre pour son honneur

« Est affectus »

Est affecté

Se bat de toutes ses forces

« Et defectus »

Et défait

Mais meurt dans la solitude

« Semper in angaria »

Toujours par lesclavage :

Pour sêtre enchaîné à un orgueil

« Hac in hora »

En cet instant

Cest alors quil se dit

« Sine mora »

Sans retard

Quun jour ou lautre

« Cordis pulsum tangite »

Touche la corde vibrante,

La mort doit nous toucher

« Quod per sortem »

Alors si le sort

Cest alors que femmes et enfants lentourent

« Sternit fortem »

Détruit ceux qui sont forts

Pour dire à ce valeureux prince

« Mecum omnes plangite »

Pleurez tous avec moi

Combien ils aiment leur roi.

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Bon, celui-là décrit un peu ma situation actuelle :

 

Je tattendrai

 

Par-delà les tempêtes

Les cyclones les marées

Par-delà les tempêtes

Qui semblent enragées.

Au-delà des plaines

Des collines des montagnes,

Au-delà des plaines

Qui rongent nos plus profondes campagnes.

Jusquau bout des mots

Et de toutes les horizons,

Jusquau bout de la vie,

À travers le miroir de la vie,

Je tattendrai.

Je tattendrai.

Car à travers le miroir de la vie

Et jusquau bout de la vie,

Car toutes les horizons

Vont jusquau bout des mots,

Car les campagnes

Se nourrissent des plaines,

Car les collines et les montagnes

Sont au-delà des plaines,

Et que devenues enragées

Par-delà les tempêtes

Les cyclones les marées

Déchaînent mes tempêtes,

Lorsque survient la mort, puisque refoule lAmour.

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Ce que j'aime dans ce topc q'est que je me réponds à moi-même.

Mais c'est pas grave, du moment que ceux qui viennent lire (si il y en a ce qui reste à prouver.. :) ) aiment et trouvent du plaisir ici alors ma mission est remplie.

 

Clémence

 

Te dédier ces vers

Est la plus belle faveur quil

Mest été donné de faire :

Je peux trouver la fertilité du Nil

En regardant ton corps le jour

Et le mystère la nuit tombée.

Chaque aurore endort mon amour

Lorsque le crépuscule éveille ce nouveau né.

Et la lune tombant sur le calme de la mer,

Nous nous laisserions bercés par la mélodie des vagues,

Fredonnant toujours ce même air

Où les marins des légendes voguent.

Près de notre petit feu

Le sable reste chaud.

En cet instant

Je tavoue que rien nest plus beau

Sinon la femme que tu es,

Et dont jai rêvé voilà

Plus de mille jours et mille nuits.

Chaque palpitation depuis cet instant-là

Est comme une fine pluie

Qui désaltère un immense désert

Brûlant et assoiffé.

Mais comme la pierre

Tombant dans leau, lautodafé

De ma vie a cessé net.

Alors que ce train ne peut aller que là où

Ses rails le conduisent, je vois plus net

Dans le passé ;le futur restera flou

Quoiquil arrive.

Mais dans ce présent,

Je ne sais plus sur quelle rive

Je suis le plus dément.

Suis-je vers lAmour ou lAmitié ?

La Réalité ou lIllusion ?

Si je devais compter

Tous mes rêves adressés à Elision,

Il me faudrait regarder le ciel,

Et énumérer chaque étoile,

Pour savoir si ses yeux à Elle

Ont un jour croisé ce Bien ce Mal.

La distance entre les âmes varie

Selon des critères si humains

Quau lieu den pleurer jen ri

Pour éviter de regarder ces mains,

Traîtresses à ma cause

Révélatrices de mon état.

Il existe bien des choses,

Bien des sentiments ou des émois.

Mais seuls quelques-uns sauraient me tuer,

Me sauver ou qualifier ma vie.

Et beaucoup ne peuvent pas créer

Les fantasmes, et bien des envies.

En croisant le fer avec la Peur,

La Vertu, la Sagesse, lHumilité

Paraissent bien plus fortes que la Douleur.

Est-il possible de garder son intimité

Quand on délivre ses secrets

A un ami qui deviendra son amoureuse

Et non son amante ?Que serait

Le passé sans nuit houleuse ?

De quelle façon puis-je attirer ton attention ?

Je pourrais, ô Dieux !

Engager un duel pour chaque émotion

Que jendure en me perdant dans tes yeux.

Mon arme serait lAmour

Mon armure le Panache

Ma mort du Velours

Ma sépulture un lit de fleurs, sans tâche

Ni pleur. Ni regret.

Ni remord. Pas de doutes.

Juste des actes. « Un jet

De pierres sur une cascade de routes ».

Où donc me mènera ce chemin ?

Vers une chambre une femme

Peut-être même à lencontre de mon destin.

Puis-je déclarer ma flamme ?

LHésitation me ronge

Mais il faut affronter le présent.

Vaguement et lentement je sors de ce songe

Pour me retrouver face à plusieurs diamants.

Chacun brille à sa manière

Et chaque éclat pèse à mon cur.

Comment pourrais-je émousser votre lumière

Lorsque mon ombre soppose au bonheur ?

Vivre pour autrui est une tâche difficile

Mais également un défi intéressant

En ce terrain hostile

Où lair est oppressant.

Une question, un signe.

Tout bascule, tout sinverse.

Le loup devient cygne

Et le monde se renverse.

Un simple battement de cils suffit

A briser des chaînes

Comme briser une vie,

Telle la tempête qui se déchaîne.

Dans les plus profonds abysses oubliés des Dieux,

Il est un amour qui prend fin :

Je men vais te dire en un mot « adieu »,

Soulageant des esprits, des âmes ;une faim.

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Il y a un poème que j'aime beaucoup d'un auteur pas très connu, Pierre de Marbeuf, qui nous propose ici un style très fin dans ses vers et une profondeur très belle, dans le choix de ses mots.

Il n'y a pas de titre à ce poème, et peut-être est-ce aussi bien:

 

Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,

Et la mer est amère, et l'amour est amer,

L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer

Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.

Celui qui craint les eaux, qu'il demeure au rivage,

Celui qui craint les meaux qu'on souffre pour aimer

Qu'il ne se laisse pas à l'amour s'enflammer,

Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.

La mère de l'amour eut la mer pour berceau,

Le feu sort de l'amour , sa mère sort de l'eau,

Mais l'eau contre le feu ne peut fournir des armes.

Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,

Ton amour qui me brûle est si fort douloureux

Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes.

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Message pour le forum, ou plutôt ses membres, du moins ceux quise sentent concernés mais je pense que cela devrait toucher tout le monde:

 

Un temps

 

Il y a un moment pour toute chose sous le ciel

Il y a un temps pour tout

Un temps pour donner la vie, un temps pour mourir

Un temps pour planter, et un temps pour récolter

Un temps pour tuer

Un temps pour guérir

Un temps pour démolir, un temps pour bâtir

Un temps pour pleurer, un temps pour rire

Un temps pour se lamenter

Un temps pour danser

Un temps pour jeter des pierres

Un temps pour les ramasser

Un temps pour enlacer, un temps pour se désenlacer

Un temps pour trouver, un temps pour perdre.

Un temps pour conserver, un temps pour jeter

Un temps pour déchirer, un temps pour réparer

Un temps pour se taire.

Un temps pour parler.

Un temps pour aimer, un temps pour haïr.

Un temps pour la guerre, un temps pour la paix.

Il y a un moment pour toute chose sous le ciel ;

Mais si peu de temps pour tout faire.

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Um pour mon brevet , au dernier exercice de français, j'ai fais un poème , je le trouve pas trop mal (après à vous d'en juger, se juger soi même c'est dur ^^), mais voilà ;

 

Le Chat

 

 

Moi, le chat, qui suis persécuté par les enfants,

Attaqué par les chiens errants,

Moi qui me fait renverser par les voitures,

Moi qui aime escalader les toitures,

Je chasse les oiseaux pour le plaisir,

Et je joue avec vous pour vous faire rire,

Moi qui tue les souris,

Pour ne plus entendre vos cris,

Moi qui viens vous faire des câlins sincère,

Mais cela parce que vous mavez retiré trop tôt de ma mère,

Moi qui cherche la bagarre,

Pour avoir un grand territoire,

Moi et mes yeux que vous adorez,

Vous en avez même fabriqué,

Pourquoi ne pourrais-je pas vagabonder ?

Dans les forêts, les champs, les prés

Sans avoir à rentrer pour manger,

Pour quoi en si peu de temps les choses ont autant changé ?

Je crois que tout ça ménerve au plus haut point

Mais en fait, jaime les humains.

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  • 3 weeks later...

Faisons vivre la poésie par la poésie.

Tous ceux qui étaient là se souviennent de la dédicace au citron.

Rien que pour Molo :blink:

Eh bien la voici la voilà :

 

Dédicace à un citron

 

Il existe une grande forêt,

Immense, pleine de sapins et dont à lorée

Se trouve un petit chemin,

De cailloux et de pins.

Plusieurs ruisseaux font vivre

Les écureuils et les castors ; les parfums enivrent

Les sens. Les plantes et les oiseaux

Chevauchent les distances jusquà Molo.

Le sentier de termine sur une clairière,

Abritée par le roi des bois et des rivières.

À son pied, je vois une femme.

Elle porte une longue robe. La flamme

De sa beauté est encore accrue par le foulard

Quelle porte. Ses longs cheveux et son regard

Percent ma nuit. Fille de la nature par son vert

Et son châtain. Les brises font senvoler de la poussière

Détoiles ; le temps devrait sarrêter.

Ce moment possède une telle intensité.

Mon cur bat la chamade tant

La panique me prend.

Je cueille une rose près de moi,

Avant de mapprocher de toi.

Définitivement, jai peur.

Sans ma poser de question, je te donne cette fleur,

Symbole de pureté, damour et damitié.

Le soleil se couche sous un ciel teinté

Des couleurs de la vie qui commence.

Chacun doit choisir, moi je prends un tournant dans mon existence.

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Et pis tant qu'on y est un deuxième, c'est ma période... :astonished:

Allez savoir de quoi ^^.

 

À Toi

 

À Toi qui me fais aimer,

Toi qui môte le goût et le toucher,

Toi qui mempêche de sentir, entendre et voir

Regarde jusquoù va mon espoir.

Je lavoue, je Taime et jétouffe encore

Que mon cur soit plus bas que lor

Et que Ton cur de diamant

Puisse avoir un amant.

Dieu a créé la femme

Mais a dépourvu lhomme dune âme.

Ta malicieuse sensualité

Aspire à la jeunesse et à léternité

Tandis que je hais mes protubérances

Qui me résignent à une longue errance.

Oh, mon amour,

Pourrons-nous vivre en paix, un jour ?

Je meurs damour à jamais

Quil y ait entre nous, toujours, un « mais ».

Oh, ma princesse,

Je Te suivrai sans cesse :

Où Tu iras,

Je serai là

Pourtant, qui donc pourrait empêcher

Les effets de cette flèche décochée

Qui ma transpercée de part en part,

À jamais nous séparent ?

Toi qui mas inspiré ce poème,

Je voudrais graver inextricablement sur ton corps : « Je taime ».

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  • 3 weeks later...

la perle qui est dans mon coeur ,

je ne la donne qu'a mon ame soeur,

je suis en quete d'amour a donner,

ne vous inquiéter pas , je ne cherche qu'a aimer,

 

il est dit dans le livre de la vie ,

que chaque etre aura le coeur pris,

mais aujourd'hui tout part de l'amour,

car comme on dit si bien ,la vie est une branche de l'amour

 

Je vous compte un moment de ma vie ,

qui je l'espere marquera un peu votre vie,

j'ai longtemps cherché la femme que j'aime

et aujourd'hui je l'ai trouvé et je l'aime!!

 

( petit mot pour dire que l'amour se trouve partout il suffit de le cherché et ne peux le lacher)

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Le premier pour celles qui se reconnaîtront:

Lettre dadieu

 

À toutes les femmes que jaime

Et qui ne le sauront jamais,

Je voudrai leur dire tant de choses

Et pourtant si peu de courage

Pour le faire ;juste assez

Dimagination pour le rêver.

Mais croyez-moi simplement

Lorsque je vous dis « je vous aime ».

 

Le second pour plusieurs personnes que je ne vois plus depuis plus d'un mois et qui me manque et aussi pour Dagga:

Pardon

 

Pardonnez-moi

De ne pas avoir pris le temps

De vous dire que je tenais à vous,

De vous dire que je vous aime,

De vous dire au revoir.

Pardonnez-moi

De ne pas avoir eu le temps

De tenir mes promesses,

De respecter mes idéaux,

De venir vous voir.

Pardonnez-moi

De ne plus avoir le courage

De tout vous avouer,

De tout vous raconter,

De tout vous cacher.

Pardonnez-moi

Car je vous aime trop

Et bientôt vous ne serez plus là,

Si proche et pourtant si loin,

Comme autrefois, comme maintenant.

Pardonnez-moi

Mes sentiments,

Mais je ne sais plus que faire

Lorsque tout est à faire.

À deux.

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