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Je vais reprendre la désormais fameuse phrase de Pande : "Bon sinon j'ai testé pour vous"

 

Donc -> Bon sinon j'ai testé pour vous Alan Wake !

 

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Alan Wake c'est :

  • Une exclu XBOX 360
  • Un jeu de Remedy (les deux Max Payne)
  • Un jeu annoncé il y a 5 ans d'où une certaine attente
  • Un thriller psychologique selon ces créateurs mais plutôt un survival horror en fait

ALORS ! Comment vous dire... Alan Wake a été très bien reçu par la critique et j'avoue que ça m'étonne pas mal parce que moi il m'a pas convaincue. Il est pas nul hein, non. Il est juste assez décevant et très moyen. En fait je vais vous épargner tout suspens, le problème d'Alan Wake, c'est qu'il est chiant. Et un jeu d'action solo d'une dizaine d'heures qui se permet d'être chiant la moitié du temps, bin c'est pas top...

 

Plus de détails tout de suite (je vais écrire ça comme ça vient, donc ça sera approuvé "bordelomolo", désolée).

 

Tout d'abord, Alan Wake ça parle de quoi : Alan Wake, le héros, est un auteur de romans (policier, horreur) qui a un problème assez emmerdant vu qu'il n'arrive plus écrire. Vouaiche. Sa femme décide donc de l'emmener en vacances à Bright Falls, plus précisément dans un petit chalet au milieu d'un lac. Sauf que malheur horreur et damnation, la femme de Wake disparaît dès le début du jeu et il va bien falloir aller chercher la grognasse. Encore mieux, il se passe des choses vraaaiment bizarres à Bright Falls, genre vieille veuve qui vous menace dans les chiottes, arbres qui tombent sans raison et surtout une Ombre qui plane partout et prend possession des habitants la nuit.

 

Dans les faits, Alan Wake ça se joue comme un jeu d'aventure-horreur en vue à la troisième personne, normal. L'astuce c'est que pour vaincre les maychants possédés, il faut utiliser votre lampe de poche pour les éclairer et une fois qu'ils ont reçu assez de lumière pour les purifier, vous pouvez vous les faire au gun. Voilà c'est tout. Alan peut péniblement sauter mais ça sert à rien. Il peut courir un peu, mais pas trop parce que c'est pas un sportif. En gros, un peu d'Alone in the Dark 4 et un peu de Silent Hill. Hop magie, c'est parti !

 

Le jeu est aussi découpé assez bizarrement, vu qu'il y a en fait 6 chapitres qui sont en vérité des épisodes. J'entends par là que chacun débute le jour pour finir la nuit (vous perdez tout votre équipement à chaque fois :alien:). Il y a un générique de fin (enfin une musique de fin) et un résumé au début, question de bien savoir où on en est. Comme c'est pas drôle sinon, chaque épisode se termine sur un cliff très efficace. Pour finir le jeu se veut assez "film interactif" : Alan commente un peu tout, les persos vous parlent sans avoir à appuyer pour passer les dialogues, sauvegardes automatiques, etc.

 

Je vais commencer par ce qui est bien :

 

Bright Falls est vraiment bien représentée, on y croit, la ville est tangible. Les décors sont superbes avec beaucoup de forêts, parfois à perte de vue, et sans donner l'impression de voir 36 fois le même arbre. Les effets de lumière sont également splendides, surtout quand ça vire au rouge avec les feux de détresse. Ça tombe bien vu comment c'est important dans le jeu, la lumière. A vrai dire, Bright Falls m'a beaucoup fait penser à Twin Peaks, c'est assez frappant et étant fan de la série, ça ne peut que me faire plaisir. (sauf qu'en fait non, mais on verra ça plus tard)

 

En plus jouer un écrivain qui ne sait pas s'il est en train de devenir fou ou s'il est devenu le héros de son propre roman, c'est plus qu'alléchant. Surtout quand on nous promet un pu### de thriller psychologique ! Bref, un peu le jeu "pour moi" qui réunit plein de thèmes et de références que j'affectionne.

 

Maintenant ce qui est pas / moins bien :

 

Si les décors sont beaux, les persos le sont beaucoup moins. Ils ont même des sales gueules, disons-le. De plus j'ai trouvé Alan assez antipathique, surtout au début ce qui est dommage vu qu'il l'est beaucoup moins quand il passe à la tv, incarné cette fois par le charmant Ilkka Villi dont je vous mets une photo parce qu'on va pas se priver ->

 

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Là Alan Wake je dis pas non :blabla:.

 

Bref, Alan dans le jeu il est brof et il est pas le seul. Sa femme est insupportable, doublée (en français, j'aurais du jouer en anglais) par Rachel de Friends (je suis désolée pour la doubleuse dont j'ignore le nom), elle ponctue toutes ses phrases par des "mon chériiii", "mon aaange", "bébééé", ARGH ! :crazy: On notera que la première chose qu'elle pense à faire en arrivant au chalet, c'est se mettre en culotte, alors Madame est en slip pendant toutes les cinématiques qui la concernent. Super... Alan a aussi un super pote, son agent, qui est gros, assez grossier, a un anorak rouge et.. attendez, est doublé par le gars qui fait Cartman dans South Park ? Ah bah oui, vous avez raison, c'est le même !!! On repassera pour les frissons...

 

Les autres bouseux de Bright Falls s'en sortent mieux, mention aux pépés hardos qui sauvent totalement la mise :ninja:.

 

Mais je m'égare.

 

Alan Wake, ça m'a fait un peu le même effet que Matrix (toutes proportions gardées) : l'histoire n'est pas mauvaise, mais en la découvrant j'ai la désagréable sensation de revoir-re-entendre que des choses que je connais déjà, le tout mélangé ensemble mais sans apporter un vraie plus-value. C'est quand trop de références tuent la référence. Parce qu'Alan Wake est BOURRE de références, partout, tout le temps. La ville ressemble trop à Twin Peaks, on a même "la femme à la lumière" qui est une copie de "la femme à la bûche". Les personnages secondaires s'appellent Nightingale (..), Derleth (....), Maine (.......). La principale inspiration d'Alan, c'est Stephen King. Je ne vais pas critiquer King l'écrivain, il a fait des bons romans et tout, mais toute la mythologie construite par et autour de son œuvre à coup de téléfilms, séries, etc. je trouve ça souvent très ringard (un peu comme l'adaptation ricaine de The Kingdom chapeautée par King qui était un désastre d'idées kinguiennes débiles et ridicules). Et ce côté ringard, il est dans Alan Wake, pour le pire et... le pire.

 

Je n'ai pas eu peur un seul instant dans Alan Wake, parce que non, me faire attaquer par un tuyau possédé ou un pneu volant, ça fait pas peur, ça fait rigoler à la limite ou ça fait rien. Nan, une pelleteuse qui prend vie à cause de l'Ombre, ça marche pas sur moi, je me planque derrière un caillou et j'attends qu'elle s'éclate toute seule. Mais il y a aussi des gens possédés, avec des tronçonneuses des fois (RE4 si tu passes par là), et ils disent des trucs en rapport avec leur vie passée, genre "les oméga-3 c'est bon pour la santé". Ah euh... je dois frissonner ? Vous allez me dire, mais il est drôle le jeu alors ? Ouais des fois il est très drôle (notamment le très chouette passage dans la maison de repos / hôpital psychiatrique) mais je doute VRAIMENT que ça doit le but dans les scènes d'horreur. Pour un joli effet d'arbres qui tombent, combien de plaques métalliques en plein crise de spasmes ?

 

Mais là encore, c'est très personnel tout ça, comme on le disait sur Dead Space avec Zhuge. Le vrai problème, c'est qu'Alan Wake c'est répétitif A MORT ! Il paraît qu'au départ ils voulaient faire un monde ouvert ? Bin on en est très loin pu### vu que vous allez passer l'essentiel de votre temps à courir dans un couloir de check-point en check-point. Et c'est tout. Et 75% du temps, ces couloirs ça sera de la forêt. Promenons-nous dans les bois, encore et encore et encore et encore et encore et encore.... Parfois, il y a une maison à visiter, une mine, une ferme, et retour en forêt, forêt, forêt. Heureusement qu'ils sont bien modélisés les arbres !!!

 

Les ennemis vont attaquent régulièrement pendant le couloir-forêt, alors un coup de lampe de poche / gun et vite, direction la Lumière qui est le check-point. Donc voilà, on se fait franchement chier, on enclenche le mode automatique et on avance tout droit, on tire et on avance et on recommence. C'est mou. Le problème de rythme vient aussi des chapitres, ils sont beaucoup trop longs. Sauf que les cliffs marchent très bien (enfin il se passe un truc !!!) alors au lieu de faire un épisode entier, on se retrouve vite à faire des moitiés. On arrête au milieu d'un parce que ça devient chiant. On reprend et on se force à finir et comme le cliff relance la machine, on fait le début de celui d'après et ... ah de nouveau la forêt ? Bon bin la suite demain, hein.

 

De toute manière, impossible d'être perdu vu que la suite se situe à un bout du couloir et il est constamment écrit le but du moment sur l'écran. Très bon pour l'immersion dîtes-moi :p. Il y a aussi des passages en voiture qui n'amènent rien à part rigoler grassement quand on s'éclate dans le mur sans faire exprès, alors qu'on voulait arriver discrètement.

 

Pour la psychologie, Silent Hill 2 peut dormir tranquille. L'histoire se suit avec ses fausses pistes, mais bon, ça sent le déjà-vu à tous les étages. Il y a une idée sympa, un peu mise en abyme vu que pendant tous les couloirs on trouve des pages du roman Departures qui serait écrit par Alan (mais il s'en souvient pas) et qui nous permettent de comprendre des choses et/ou de savoir ce qui va arriver. Normalement ça fait peur (genre dans 5 minutes ils vont te tomber sur la gueule) sauf qu'encore une fois, savoir qu'une pelleteuse infernale m'attend au prochain virage, mouairf....

 

Comme pour en rajouter une couche, le dernier chapitre est proche de la honte : sans spoiler, on se retrouve à l'autre bout de ville et on doit tout retraverser en alternant promenons-nous dans les bois et crash en voitures ET le scénar décide de nous balancer plein de trucs dans les 10 dernières minutes, question d'abreuver les plus imaginatifs pour de nouvelles théories. Vas-y on introduit un nouveau perso :

qui est Mr Scratch le doppelgänger d'Alan ?

et on lance l'idée qu'

Alan a tué sa connasse de femme, ou alors c'est Zane, ou alors je je je... !?

. Le tout se conclue sur une phrase vouée à devenir culte :

ce n'est pas un lac, c'est un océan !!! :ohmy:

, si toutefois le jeu s'était bien vendu, vu que 145'000 exemplaires aux USA, c'est pas ça. En même temps, sortir le jeu le même jour que Red Dead, faut être un peu c#n aussi... (par contre,

les mots à détruire

c'était bien).

 

Bref, Alan Wake c'est chiant, c'est mou, et trop de références tue la référence. Malgré tout le jeu réserve des moments sympathiques comme le passage très rock'n roll :0 (faut jouer pour comprendre) et voir le décor nous tomber sur la gueule c'est sympa (quand c'est pas ridicule).

 

Je trouve que c'est tout de même très décevant pour un jeu qu'on attend (pas avec une particulière impatience en ce qui me concerne pourtant) depuis 5 ans. Il y a du potentiel, mais c'est tout, c'est trop mal enrobé dans un jeu trop répétitif qui se repose sur sa magnifique modélisation des arbres. Oui j'aime les arbres.

 

AAAAHHH j'ai oublié un truc. Question de continuer avec ses mécaniques qui datent d'il y a 10 ans, il y a une super fausse série inspirée de la quatrième dimension. Là par contre j'ai trouvé les épisodes tous super (même un peu flippants des fois) sauf que... Il faut allumer une petite tv pour les voir et rester planté là. Si on s'éloigne, le son aussi et on entend plus rien. Super pour maintenir le rythme encore une fois. Quand on voit comment c'est géré dans Dead Space par exemple, c'est la honte. Pareil pour la radio, si on veut explorer la pièce en écoutant l'émission, bin on entend plus rien. Yeaaaah.

 

La version collector du jeu est livrée avec un livre "Les dossiers Alan Wake" de plus de 100 pages avec des entretiens avec les persos, la première nouvelle d'Alan, un bout de sa série de romans policiers (je veux lire la suite !!!), une présentation de la méthode d'Hartman, etc. Bin ce livre est super franchement, il crée son univers sans se noyer dans les références et un gameplay faisandé. Comme quoi, c'est bien le jeu qui a un problème.

 

Tout ceci, c'est que mon avis. Le jeu a des très bonnes notes (8 sur Kult, WTF) et plein de joueurs trouvent que c'est génial. Le vrai problème, c'est ptêt moi. Il y aura un DLC fin juillet, un nouveau chapitre et il est gratos si on a le jeu neuf (y'a un code dans la boîte) alors qui sait ? Ptêt que mon avis sera revu à la hausse après avoir vu le contenu.

 

Voilà :molo:

 

Entre

 

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et

 

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Mon choix est fait

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Quel commentaire ?

 

Mais ouais, je me dis que je suis un peu dure avec ce pauvre Alan... il va malheureusement falloir l'essayer vous-même pour voir si vous aimez ou pas ^^'.

 

Un de mes épisodes préférés du Twilight Zone like (eux ils sont très bons) ->

 

 

Et l'émission tv avec Alan version Ilkka Villi :p

 

 

On la voit dans le jeu.

 

En fait tous les à-côtés sont chouettes, juste pas le jeu ^^'. Je crois que ça m'a frustré aussi parce que j'adore ce genre d'univers étendu, quand on crée des vrais-faux trucs, comme si c'était vrai mais ça l'est pas... Dommage... Peut-être que si je refais le jeu un jour, je le reverrai à la hausse ? (ou pas...)

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Bein le tien. :p

 

Et je doute que si tu trouves le jeu chiant dès le premier essai, retenter un jour et donc tuer le suspens y fasse grand chose, d'autant plus que l'intérêt semble être plus scénaristique que gameplay !

Je regarde les vidéos tout à l'heure, je me suis remis à Mass Effect du coup. :blabla:

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deja merci pour l'avis (meme si je le vois qu'aujourd'hui en fait) et effectivement, ca calme. Je dois avouer que tu restes, molo, ma reference en matiere de gout videoludique (comment je cause bien) alors je sens qu'alan, sera sans moi. Ton avis, je le trouve pas si dur que ca, plutot juste.

 

Apres, les gouts et les couleurs hein, on se rappelle de Drakengard qui est un jeu de m##de qui approche le zero absolu et qui fait pourtant parti de mon top 10 de tous les temps alors bon, je vais appliquer la methode du : tu me le pretes ton jeu la? histoire de l'essayer a moindre cout (pas bete la Pandé)

 

sinon, j'ai pas trouvé le topic fable, je voulais poster mon avis pour le jeu coté obscur que je viens de finir mais si faut que je me fasse le topic, ca m'embete un peu

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Ohhh mais tu me flattes Pande :p mais plus sérieusement, j'ai malheureusement pas le bon goût infus (?) et je me pose quand même un peu des questions pour cet Alan Wake, quand je vois certains joueurs le prendre comme une baffe dans la gueule, genre BGE depuis 10 ans, expérience renversante, scénar / mise en scène révolutionnaires, etc. Bon, il faut aussi dire qu'en fouillant un minimum, le jeu ne fait pas l'unanimité et on trouve assez facilement des déçus, alors qui sait...

 

Comme je disais, tout n'est pas nul, loin de là. Si t'es fan de King, tu peux sans doute que l'apprécier plus que moi.

 

Le topic Fable, il existe, je crois qu'il est dans la section XBOX ->

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Bah j'ai trouvé ton avis très pertinent aussi, à propos des bons points, des mauvais, etc. :blabla:

 

Bon après, c'est dommage qu'il me manque une petite 360 pour infirmer ou confirmer derrière, mais j'ai l'impression qu'il y a un sacré bandwagon derrière ce Alan Wake, hier encore un cousin m'en parlait en disant que c'était trop bien, blablabla, alors qu'il n'avait que la boîte et même pas encore commencé le jeu. N'empêche que derrière, t'as saccagé le jeu sur mon critère n°1 absolu : Il est pas fun. :p

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Interview Kult de David Dufour, responsable de la branche marketing Xbox pour Microsoft France.

 

Extrait sur le sacrifice d'Alan Wake ->

 

Avez-vous un commentaire à faire sur les chiffres GfK côté ventes de jeux en France sur les cinq premiers mois de l'année, avec ce carton de Red Dead Redemption qui a vampirisé un peu le marché ?

 

Je pense que le marché, on a beau le tirer dans tous les sens, il a une saisonalité. Le consommateur ne peut pas acheter dix jeux quand il y a dix nouveautés fortes qui sont lancées dans un espace temps de quelques semaines. Il faut faire un choix. On essaie d'étaler les sorties, mais curieusement, il y a eu beaucoup de sorties en mars (c'est la clôture fiscale de beaucoup d'entreprises) et en mai cette année.

 

Du côté de Microsoft, c'est visiblement Alan Wake qui en a fait les frais...

 

Le jeu s'est bien vendu, mais pas au niveau de l'attente qu'on en avait et compte tenu de la qualité du produit. En France, on est à plus de 25.000 pièces maintenant. C'est une déception, oui. Mais quand tu lances ton jeu quelques jours avant Red Dead Redemption, il doit y avoir un gagnant, et ça a été Red Dead Redemption. Maintenant, comment expliquer le décalage entre les bonnes critiques de journalistes confirmés et le fait qu'on ne rencontre pas notre public ? Ou bien, est-ce que c'est la fenêtre de tir qui n'était pas idéale ? C'est un marché parfois frustrant.

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J'aime beaucoup le petit surnom de la femme d'Alan. ^_^

 

Sinon pour les ressemblances, ça doit être un peu le même genre de décor, style les grands lacs US, non ?

Par contre, j'avoue que les éditeurs sont toujours aussi forts pour trouver des excuses sur l'échec commercial de leurs jeux. Qu'ils attendent un peu plus, si Red Dead Redemption lui grille la priorité sur le court terme, ils pourront peut-être se refaire lors de la diminution des tarifs, ou alors faut se faire à l'idée que le jeu n'était pas aussi bien qu'ils l'estimaient. Ou que la presse l'estimait non plus.

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