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Culture


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Haaaa...

 

La culture...

 

Pardon: La Culture.

 

Qu'est que la Culture?

 

La Culture est une série de romans et de nouvelles de science fiction écrites par le romancier écossais Iain Menzies Banks.

Le nom ne vous dit rien?

Bon: outre le fait que Banks a été largement pompé par les scénaristes du jeu Halo, qui ont de leur propre aveux repris énormément des éléments de la série Culture (tout en restant loin en deça de la qualité de l'original), il se trouve que cet auteur est quand même un très très très bon écrivain, et la série de la Culture est son œuvre majeure.

 

* * *

 

Il était une fois, bien loin d'ici, de l'autre côté du puit de gravité, une terre magique où n'existait ni rois, ni lois, ni argent, ni propriété, mais où chacun vivait en prince, où les gens étaient très bien élevé et ne manquaient de rien. Ils méprisaient les rangs et les grades, détestaient les rois, comme tout ce qui relève de la hierarchie, et, s'il n'avaient pas éprouvé un tel désintérêt pour le pouvoir, ils auraient été très redouté. Ces gens vivaient en paix, mais ils s'ennuyaient ferme, car le paradis peut faire cet effet au bout d'un moment; ils se lancèrent donc dans les bonnes œuvres

Cheradenine Zakalwe

 

Dans l'univers de Banks, les civilisations extraterrestres foisonnent; certaines en sont à leur balbutiement, certaines pratiquent depuis longtemps le voyage dans l'espace, et certaines, très anciennes, règnent sur des empires de plusieurs milliers de mondes et regardent avec plus ou moins d'indifférence les aléas des civilisations plus jeunes qu'elles. La Culture, elle, est un cas particulier:

Aux alentours de 10.000 avant Jesus-Christ, une demi douzaine d'espèces humanoïdes vivant dans notre voie lactée décidèrent de s'unir, et fondèrent la Culture, qui en quelques siècles devint l'égale des plus anciennes et des plus puissantes des civilisations aliens. Au fur et à mesure de son expension, elle a englobée de plus en plus d'espèces différentes, certaines humanoides, d'autres... moins. (Cheradenine Zakalwe, le "héros" du roman "L'usage des armes" est le collègue d'un Cthulhu femelle avec lequel il lui est arrivé de faire un concours d'ivrogne entre deux boulots, sisi)

La Culture se définit par plusieurs caractéristiques: premièrement, 40% de sa population (30.000 milliards d'individus aux alentour de l'an mille) se compose d'IA. Drônes, vaisseaux spatiaux voir "Mentaux" (des super-ordinateurs capable de gérer des mondes artificielles 100 fois plus étendus que la planète terre), près de la moitié de la population de la culture se compose de machine. Ces machines ne sont pas au service de la population organique, et les êtres de chair et de sang ne sont pas les serviteurs des machines: chaque habitant de la culture est un citoyen égal aux autres, ce qui crée quelques scènes bizarres quand les habitants de la culture se mettent à débattre de politique ou quand un étrangers en voyage au sein de la culture tombe sur un barman humain entrain de discuter théologie comparée avec un ordinateur qui apparaît sous la forme d'un ballon de foot en lévitation ou quand il faut prévenir un habitant de la culture sur le point de s'engager dans l'équipage d'un vaisseau de guerre que ledit vaisseau de guère... est un voyeur.

Deuxièmement, la quasi-totalité de la population de la culture vit dans des mondes artificiels, certain sont des "Orbitales" de "petite taille" (petit = 3 millions de kilomètres de diamètre) qu'on trouve en orbite autour de géantes gazeuses, d'autres sont des "Vaisseaux Systèmes Généraux": des vaisseaux spatiaux (dont les plus petits exemples font 200 kilomètres de long) semblables à des villes, et, comme leur nom l'indique, capable de se déplacer (apparement, les PTT locaux fonctionnent très bien malgré la tendance des boîtes aux lettres à se déplacer à 10 années lumières par heure). En fait, les habitants de la culture ont une conception particulière de l'écologie qui peut se traduire par "on ne touche pas à l'habitat naturel": c'est à dire que s'ils sont parfaitement capable de rendre habitable n'importe quel bout de roc en orbite autour d'un soleil, ils considèrent que modifier l'environnement de quelque manière que ce soit constitue une forme de polution, même rendre habitable une planète dénuée d'atmosphère où rien ne vit. Aussi, la Culture contrôle peu de planètes (pour l'essentiel, il s'agit des mondes d'origines des différentes espèces qui la composent), une très faible proportion de sa population (moins de 1%) vit sur des planètes (c'est même considéré comme une excentricité par les 99% restant), et on peut dire que cette civilisation est à peu de chose près nomade.

Question technologie, la Culture est du genre avancée, très avancée: leus vaisseaux peuvent se réfugier à l'intérieur d'un soleil, les IA les plus dévellopées peuvent tenir plusieurs millions de conversation à la fois tout en dirigeant les mécanismes complexes des vaisseaux qui les abritent et en traçant les plans d'expériences scientifiques qui sont au collisionneur de hadrons du CERN ce que le collisionneur de hadrons est aux moulins à vents, et si les habitants de la Culture meurent de vieillesse, c'est parce qu'il est mal vu là bas d'être immortel. Il est d'ailleurs possible de complètement modifier son code génétique, mais compte tenu de sa capacité à faire mumuse avec les gênes de ses habitants, la culture pratique en fait très peu les modifications génétiques: ils en pratiquent néanmoins quleques unes à grande échelle: premièrement pour rallonger la vie de leurs habitants, deuxièmement pour rallonger la durée des orgasmes (tant qu'à faire), et troisièmement pour celles et ceux qui veulent changer de sexe (certains habitants de la culture changent de sexe tous les 2 ou 3 ans... ha, et ils ont le choix entre plus de deux sexes), et dernièrement pour imuniser les gens contre les effets secondaires des drogues tout en les rendant capable de les synthétiser via des glandes (Oui: quasiment tous les habitants de la culture sont shootés, avec des drogues fabriqués par leur propre organisme) pour le reste, pas de surhomme fabriqué en éprouvette (les citoyens de la culture trouvent que ça manque de style), et pas de sélection préalable des allèles des gamins sur décision des parents (si l'enfant n'est pas content d'être né petite et rousse avec 5 doigts à chaque main, elle pourra toujours demander une fois adulte de devenir grand, brun, et avec 7 tentacules à chaque bras). La technologie de la Culture lui permet également de ne pas trop se poser de question concernant les questions énergétiques (ils peuvent se servir en pompant dans un trou noir ou en se branchant sur un univers voisin qui en est encore au big bang), ou de ressources naturelles (leurs vaisseau peut fabriquer à peu près n'importe quoi à partir d'hydrogène). La Culture est donc l'enfer des capitalistes: malgré leur puissance intellectuelle, les IA ont du mal à comprendre les concepts d'ordure ou d'inflation ("inflaquoi?" est le genre de réponse que peut faire une IA capable de faire fonctionner une orbitale).

 

Alors, la Culture, c'est une utopie, un univers parfait?

Bah ouais

Pas de tensions entre les habitants?

Bah nan

Pas de lois?

Quelques tabous (même le plus puissant des mentaux n'osera pas fouiller dans les pensées de quelqu'un)

Pas de système juridique, même en cas de viol ou de meurtre?

D'abord, il est extrêmement difficile de faire mourir un habitant de la culture avant l'heure (il faut au minimum lui couper la tête, s'assurer que le reste du corps ne repousse pas, et en plus vérifier qu'il n'a pas effectué une sauvegarde de sa mémoire, quant à tuer une IA... la méthode la plus facile pour y arriver est d'essayer de la convaincre de se suicider); ensuite, non, il n'y a pas de sentence, pas de prison, mais, comme le dit l'un des habitants de la culture "C'est la mort sociale: plus personne ne vous invite nul part": la peine maximale dans la culture est la condamnation à vivre à perpétuité une vie de No-Life (comme perpet peut durer 4, 5, 6 siècles, il est possible qu'on en vienne à trouver le temps longs)

 

Bah alors, où est le problème?

Le problème, c'est que les habitants de la culture finissent parfois par s'emmerdent comme des rats morts: la vie dans la culture s'apparente à une interminable croisière de luxe, où tous les caprices ou presque peuvent être exaussé immédiatement; et le summer of love, à l'échelle intergalactique, ça finit par devenir chiant.

D'un autre côté, les habitants de la Culture sont très fiers de leur civilisation, et ils estimment que vivre plusieurs siècles à se consacrer aux arts, aux jeux (l'un des rares "titres" prestigieux au sein de la culture est celui de "joueur de jeu") et au sexe sans jamais manquer de rien vaut mieux que de vivre dans une tyrannie corrompue, sur une planète aux ressources naturelles qui s'épuisent, ou à devoir faire la guerre en permanence à l'un de ses voisins où à un autre.

Alors la Culture s'est lancé dans l'aide au tiers monde, ou plutôt au tiers univers: ils ont crée une sorte d'organisme gouvernemental (ce qui est assez ironique compte tenu du fait que la Culture est un civilisation anarchiste où l'essentiel du travail politique et administratif revient à superviser le fonctionnement des moteurs et des automates d'entretien des vaisseaux-mondes de la Culture) intitulé "Contact" dont le but est de faire "progresser" les civilisations moins avancées que la culture, en d'autre termes, les amener à lui ressembler de plus en plus et finalement à être intégrer dans cette civilisation nomade en expansion constante.

 

Et c'est là que ça devient intéressant.

Parce que si Banks avait voulu écrire des livres sur une société idéale vue de l'intérieur, premièrement, il serait vite devenu gavant à lire, et deuxièmement, on aurait eu droit à du Ayn Rand à l'envers (c'est à dire à un tract politique bas de gamme mélangé à de la prose masturbatoire, beurk).

Au contraire, Banks a évité magistralement les deux écueils des récits d'utopie: Premièrement, les livres de la culture sont toujours passionnant à lire, et deuxièmement, ils montrent toute l'ambiguité de cette civilisation. La Culture n'est pas une civilisation parfaite, loin de là. Mais la Culture n'est pas non plus une civilisation maléfique déguisée en utopie. Banks arrive à maintenir son univers sur le fil du rasoir: la Culture est ambigue: les romans de la Culture montrent les interactions de celle-ci avec les autres civilisations, et selon les points de vue, selon les situations, elle apparaît bonne ou mauvaise, parfois idéaliste, parfois naïve, parfois cynique, parfois carrément dangeureuse et destructrice.

 

Les romans de la Culture décrivent essentielement les évènements qui se passent à la marge de celle-ci, et qui tournent autour de Contact, qui est à la fois le "ministère des affaires étrangères" et "l'armée" (une armée complètement dénuée de grades, de hierarchie et de discipline, ce qui n'empêche pas la Culture d'être effroyablement efficace quand on la pousse à bout), et surtout d'une entité appelée "Circonstances Spéciales".

"Circonstances Spéciales" est en quelque sorte les services secrets de la Culture, mais au lieu de se contenter d'espionner, ceux-ci manipulent aussi les sociétés situées dans la sphère d'influence de la culture, s'assurant que le bon camps gagne une guerre, que tel dirigeant parviens au pouvoir et que tel autre est écarté. La Culture ne soutient d'ailleurs pas nécessairement les peuples et les dirigeants qui sont le plus en accords avec elle: il lui arrive de prendre parti pour des fanatiques ou des aristocrates au dernier degrès de la décadance, voir s'assurer que deux camps ennemis restent de puissance égale pendant une période de temps donnée, le tout faisant parti de stratégies élaborées et complexes censé amener les espèces observées par la Culture à progresser.

Deux problèmes se posent: premièrement, autant les habitants de la culture sont sympatiques, charmants et chaleureux sur leur prorpe territoire, autant ils peuvent se changer en monstres de cynisme pour parvenir à leur fin, n'hésitant pas à récupérer les pires criminels de guerres d'une planète, à les rendre immortels, et à les réexpédier sur une autre planète pour faire le sale boulot, à mettre en place et à maintenir des tyrans ou des incapables au pouvoir (une plaisanterie des lecteurs des romans du cycle Culture est de dire que la Culture existe bel et bien et qu'elle a mis Bush junior au pouvoir afin de dégoûter l'humanité du parti républicain, une réussite, je dois dire), voir à sacrifier des continents entiers au nom du meilleurs des mondes possible et immaginable. Et deuxièmement, ça ne marche pas toujours: d'abord, parceque tôt ou tard les civilisations sous influences de la culture finissent par se rendre compte de celle-ci et il n'est pas rare que des ressortissants de ces civilisations se mettent à haïr la culture pour les utiliser comme cobayes de leurs expériences sociétales, ensuite, avec des agents qui ressemblent parfois à un croisement entre Kouchner et KOS-MOS, Circonstances Spéciales peut se planter dans les grandes largeurs et saccager toute une espèce qu'ils cherchaient à faire progresser.

 

Aussi les romans de Banks narrent-ils les péripéties de la Culture dans ses "bonnes œuvres", les faits et les gestes de ses agents, des habitants des civilisations qu'elle affecte, et de ses ennemis, ses réussites et ses échecs, ses bienfaits et ses zones d'ombres.

 

* * *

 

BREF, pour conclure, j'ai découvert la Culture récemment, en lisant l'Algébriste (du même auteur, mais ne faisant pas partie du cycle de la Culture), et cette série est vite devenue l'une de mes préférés, d'abord parce que c'est bien écrit, et ensuite parce qu'il s'agit de romans qui s'inscrivent dans un genre (le récit d'utopies) qui plante souvent, même quand l'auteur est talentueux (Mars la Bleue, par exemple, m'a par moment sacrément gonflé), et là, on arrive à avoir la desciption d'une société "idéale" qui reste crédible et qui a suffisament de zones d'ombre et d'ambiguités pour ne pas ressembler simplement à l'expression des phantasmes de l'auteur.

 

Je dois aussi dire que Banks fait beaucoup d'expérimentations (plus ou moins heureuses, mais pour l'essentiel heureuses) littéraires: par exemple le roman "L'usage des armes" est à plus de 50% un flashback progressif inversé (et Banks a publié une version simplifiée du roman: l'originale étant de son propre aveux incompréhensible), et il arrive souvent à Banks de faire un ping-pong entre différents points de vues (dans le romans "une autre forme de guerre, le point de vue passe deux douzaines de fois d'un personnage à un autre dans le même chapitre au point qu'après avoir lu le même chapitre 3 fois, je ne suis toujours pas sûr de savoir qui pensait quoi); mais, pour l'essentiel, le style reste fluide et facile à lire, et vous ouvre les porte de l'une des meilleures séries de SF de ces 40 dernières années.

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13 lectures depuis le postage du sujet et aucune réponse...

quel succès ! ça mérite un best-of pour les générations futures !

 

Cheradenine Zakalwe, le "héros" du roman "L'usage des armes" est le collègue d'un Cthulhu femelle avec lequel il lui est arrivé de faire un concours d'ivrogne entre deux boulots, sisi

:ninja:

 

quand un étrangers en voyage au sein de la culture tombe sur un barman humain entrain de discuter théologie comparée avec un ordinateur qui apparaît sous la forme d'un ballon de foot en lévitation

:ohmy: :(

 

apparement, les PTT locaux fonctionnent très bien malgré la tendance des boîtes aux lettres à se déplacer à 10 années lumières par heure

:0 :ohmy: :ohmy:

 

en traçant les plans d'expériences scientifiques qui sont au collisionneur de hadrons du CERN ce que le collisionneur de hadrons est aux moulins à vents

:ohmy: :ohmy: :ohmy::ohmy:

 

la culture pratique en fait très peu les modifications génétiques: ils en pratiquent néanmoins quleques unes à grande échelle: premièrement pour rallonger la vie de leurs habitants, deuxièmement pour rallonger la durée des orgasmes (tant qu'à faire), et troisièmement pour celles et ceux qui veulent changer de sexe (certains habitants de la culture changent de sexe tous les 2 ou 3 ans... ha, et ils ont le choix entre plus de deux sexes), et dernièrement pour imuniser les gens contre les effets secondaires des drogues tout en les rendant capable de les synthétiser via des glandes (Oui: quasiment tous les habitants de la culture sont shootés, avec des drogues fabriqués par leur propre organisme)

:ohmy: :ohmy: :ohmy::ohmy: :ohmy: :ohmy: :ohmy: :ohmy: :ohmy: :ohmy:

 

des agents qui ressemblent parfois à un croisement entre Kouchner et KOS-MOS

o_O (je suis limitée en smileys >_>)

 

ah mais l'Algébriste, ça me dit quelque chose ça...

 

"L'usage des armes" est à plus de 50% un flashback progressif inversé

ouhla, ça devient compliqué...

 

Banks a publié une version simplifiée du roman: l'originale étant de son propre aveux incompréhensible

o_O c'est bien ce que je me disais ;p

 

ça a l'air difficile à suivre quand même, je sais pas si ça pourrait me plaire... ? c'est pas un peu indigeste pour quelqu'un sans super cerveau ?

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moi je suis une fille polie, quand ma maman m'offrira (totalement par surprise :ohmy: ) le troisième volume d'eragon, je ferais comme les premiers je lirai ! ( ne serait-ce que pour savoir quoi répondre si elle en parle vu qu'elle s'y met aussi à la fantasy ^^ ). C'est du classique de classique mais bon c'est pas si mauvais.

 

 

Pour en revenir au sujet : ben oui je l'avais lu et j'avais pas posté, pas bien !

 

qu'est-ce que je me suis dis en lisant le topic et bien texto : " pu###..le ninix il est aussi bon a donner envie de lire un bouquin que Molo avec les animes ! "

 

le soucis c'est que c'est plus facile de dl une série d'anime que d'acheter une série de bouquin, c'est pas le même tarif :(

 

En ce moment quand j'ai une heure de libre je fini le génialissime Locke lamora :ninja:

et en relisant de vieux topics nixiens ben j'ai mis la compagnioe des glace en liste d'achat future ( en découvrant que je l'avais déjà fait ya des années mais j'ai du paumer la liste :0 ) .. ben je vais rajouter celui-ci. J'aime beaucoup l'idée. :ohmy:

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Bon j'ai lu 2-3 lignes du lien passé, en gros il critique pour son côté typique, avec les méchants d'un côté, les gentils de l'autre... Le seigneur des anneaux c'est pareil dans ce cas, et des centaines d'autres. Je suis le premier à critiquer mais je ne m'arrête pas à ce genre de détail, si c'est bien écrit et passionnant, qu'importe du reste, tant qu'on y prend plaisir.

Et accessoirrement, je n'ai pas acheté ce bouquin, je l'ai emprunté (non, pas à Catti :ninja:) à la bibliothèque, alors bon.

Et pis, chacun ses goûts (pour info, je suis au quart du tome 1, et encore).

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Si tu lis plus, tu verras qu'il critique surtout le cliché avec les mauvais forcément stupides, entre autres, le manque d'originalité, et surtout de cohérence. Pas pareil, après, je n'ai pas lu grand-chose (genre quelques pages et la quatrième de couverture quand je l'ai eu sous la main), mais je sais que je n'aimerais pas :ohmy:.

(je parle d'Eragon ici)

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Je vais d'abord terminer Eragon et le reste, après on verra :x

Mais si c'est vrai que les méchants sont stupides, j'avoue que ca me saoule aussi... Enfin, ca dépend, pour le moment les méchants ont surtout l'air d'une meute plus ou moins d'animaux sauvages, mais si même les êtres censés être intelligents sont méchants donc stupides, là j'avoue que ca sera moins bien :/

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